Les améliorations d'Amélie - Histoires de Sexe

Les améliorations d'Amélie

... corps. Des yeux intensément bleus la contemplent, elle frissonne. Méticuleusement, elle explore son visage, elle contemple sa poitrine, puis encore plus bas :

— Purée ! C’est dingue quand même ! T’es fortiche !
— Merci ! Mademoiselle est satisfaite ?
— Juste un petit détail : un chouia moins grosses, les lèvres, s’il te plaît.

Le garçon pose ses doigts sur les lèvres décrétées trop charnues :

— Voilàààà ! C’est bon comme ça ?
— Nickel !

Un peu chancelante, Amélie lève tant bien que mal une de ses jambes pour mieux l’examiner :

— Ça y est, je suis définitivement débarrassée de mes soucis d’épilation ?
— Je pense que je suis passé partout où il fallait. Si tu découvres des poils ces prochains jours, fais-le-moi savoir, je te les vire aussitôt, ça fera partie du SAV.
— Très bien !

Amélie se recouche en reculant un peu plus dans le lit, s’allongeant ensuite sur le côté. Puis elle désigne la place libre devant elle :

— Tu as fait ta part du marché, à moi de faire la mienne…
— Je m’allonge à côté de toi ?
— Oui, je préfère comme ça, c’est plus facile pour moi. Mais avant, enlève ton pantalon et ton slip, mon petit Panpan !
— Mon caleçon plutôt…
— Peu importe, du moment que ton machin est à l’air !

Paul-Henry s’exécute. Amélie s’exclame :

— Oh, purée de purée ! T’as un sacré engin ! Mais ça va, il n’est pas encore trop gros !
— Je sais m’arrêter quand il le faut.
— Ah, OK, tu t’es opéré toi-même, c’est ça ?
— En effet, on n’est jamais aussi ...

... bien servi que par soi-même…

Le garçon s’installe, la verge pointée vers le plafond. Sa voisine se rapproche de lui :

— Beau mandrin ! Même pas besoin de le décalotter !
— Merci, il est fin prêt à l’emploi…

D’une main, elle s’empare de la base du sexe dressé devant elle, puis de l’autre, elle fait un petit geste doublé d’une incantation. Le gland se couvre d’une fine pellicule de miel. Paul-Henry constate amusé :

— C’est pratique pour le petit-déj ou le goûter !

Amélie se met à rire, puis sans transition, elle enfourne posément le haut de la verge dans sa bouche. Paul-Henry remarque tout de suite que la jeune fille n’en est pas à son premier essai, elle a visiblement une certaine expérience dans la chose. Il se plaît à songer à une femme idéale ayant les beaux gros seins tout doux de Méline et l’habilité buccale d’Amélie, sans oublier sa silhouette générale qui lui a fait forte impression…

Amélie déploie toute sa science, et le jeune homme constate qu’il va avoir du mal à résister, et que s’il ne se contrôle pas, il se videra en un rien de temps dans la bouche experte. Il se laisse choyer quelques instants, puis il décide de reprendre la main avant de la perdre complètement :

— Amélie, et si je te rendais la pareille ?

La jeune femme ôte de sa bouche la verge couverte de salive :

— C’est-à-dire ?
— Un soixante-dix moins un, si tu connais l’expression…

L’œil luisant, elle répond :

— Ce n’est pas une mauvaise idée… Et pourquoi tu me proposes ça ...