1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1524)


    Datte: 11/07/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... perturbé, le mot était faible… Je me sentais totalement ravagé, perdu, totalement ailleurs… Comment en étais-je arrivé là ? Juste pour accroitre une excitation sexuelle, juste pour satisfaire une pulsion ! Je m’interrogeais à haute voix :
    
    - Mais qu’est-ce qu’il t’arrive mon pauvre Alex ?
    
    J’étais tombé bien bas… L’autre…, comment s’appelait-il déjà ? Ah oui… Walter, ce pervers, quand il est arrivé dans le bureau de Monsieur le Marquis, alors que j’étais nu devant le Noble, les mains sur la tête, les cuisses écartées. Il m’avait tripoté à son aise ce Majordome, d’abord en me titillant les tétons, les pinçant à m’en faire hurler. Ses mains s’étaient ensuite baladées sur mon corps nu, il m’avait caressé longuement les fesses, un de ses doigts allant même s’immiscer dans mon sillon anal à la recherche de mon intimité. Et moi, je m’étais laissé faire, sans bouger, sous le regard sérieux de Monsieur le Marquis, comme si tout cela était naturel et banal. J’étais à la fois terrorisé et terriblement excité.
    
    - Anus à la fois souple et tonique, avait commenté Walter en poussant son doigt en mon fondement … Couilles un peu remontées, mais sac ne demandant qu’à être façonné, avait-il ajouté après avoir manipulé et pétri mon scrotum … Nouille bien veineuse se décalottant parfaitement, beau gland avec méat s’ouvrant facilement par une simple pression sur le bout de la queue, avait-il conclue juste avant de me poser des glaçons sur le sexe pour le faire devenir flasque. Et là… sitôt ...
    ... après que mon sexe se soit détendu, Monsieur le Marquis s’approcha de nouveau vers moi, et m’avait posé cette chose bizarre en métal sur ma nouille, l’enfermant dans une cage, verrouillant l’ensemble avec un petit cadenas sur lequel figurait trois initiales bien distinctes : MDE. Horrible ou délicieux moment ? Je ne pouvais répondre, une seule chose que je savais, ces deux Hommes m’avaient considéré comme une bête de foire, comme un objet inanimé se laissant manipuler et apprécier par eux.
    
    J’avais le sentiment que cette cage se voyait, comme un nez au milieu de la figure. Une bosse se dessinait son mon bermuda trop étroit. Il fallait que j’aille me changer au plus vite, prendre un short plus ample. Malheureusement, Louise assise dans sa cour à l’ombrage sous le vieux tilleul, près du portail de la propriété semblait m’attendre. Lorsqu’elle aperçut ma voiture, elle me fit des grands signes afin que je m’arrête, je baissais la vitre :
    
    - Oh Monsieur Alexandre… vous étiez chez Monsieur le Marquis ?
    
    Venant de sa part, cette question me surprenait, elle si discrète et si effacée habituellement.
    
    - Oui ma bonne Louise, je viens de voir Monsieur le Marquis d’Evans.
    
    - Et vous êtes revenu ?
    
    - Comme vous pouvez le constater, c’est bien moi qui suis là, devant vous, ma chère Louise.
    
    - Suis-je bête Monsieur Alexandre, je voulais dire vous êtes revenu bien vite. Reprenait-elle confuse et déconfite.
    
    - J’ai eu tout de même un long entretien avec ce Monsieur, ma bonne ...
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