Comment j'ai depucelé et baisé ma jeune et dévergondée belle fille. (1) - Histoires de Sexe

Comment j'ai depucelé et baisé ma jeune et dévergondée belle fille. (1)

... t’en.

Mais l’animal ne l’entendait pas de cette oreille et ne voulait rien savoir.

Le problème c’est que cette fois, c’est mon cul qu’il commençait à renifler et cette voluptueuse sensation me ramena immédiatement à d’autres et chauds souvenirs.

Il commença timidement, sans doute pour guetter ma réaction, à glisser doucement sa truffe entre mes fesses et sentir mon anus.

Justement, et parce que j’étais en levrette, prêt à baiser enfin ma belle fille, mes fesses étaient complètement ouvertes et à sa merci. Une première langue lécha mon petit trou, ce qui eu pour effet immédiat, d’augmenter mon érection dû à mon excitation !

— Oooh comme elle est grosse... s’écria ma petite Chloé. J’espère que je ne vais pas avoir trop mal.

À présent ma grosse queue était à la porte de sa vulve et je voulais lui la mettre doucement, pour ne pas lui laisser un mauvais souvenir de sa 1ère fois.

Si je m’étais écoutée je l’aurais transpercée de bout en bout, tellement je bouillait de l’intérieur.

J’écartais ses fesses par-dessous, avec chacune de mes mains et tout mon corps reposait peau à peau, sur ses gros seins, qui étaient à présent sortis.

Mon gland commençait à entrer, quand la gamine a poussé un petit cri de douleur.

— Ne t’inquiète pas c’est normal je vais aller doucement.

Mais à la vérité, j’étais tellement excité, que je me retenais de ne pas lui enfoncer mon pieu au fond de son vagin.

La pénétration a duré une bonne dizaine de minutes, car elle ...

... avait mal, mais putain une fois que j’ai été dedans.. huuum !!Comme c’était bon, je me souvenais plus la sensation de fourrer sa queue, dans une chatte aussi étroite.

J’avais vraiment l’impression qu’elle enserrait, chaque millimètre de ma bite, je la sentais partout.

Puis j’ai commencé mes va-et-vient, vraiment doucement car je voulais la ménager, même si ce n’était pas vraiment ce dont j’avais envie.

Au bout d’un moment, j’ai senti qu’elle se relâchait et ma bite commençait à bien coulisser. C’était vraiment bon et je faisais des efforts surhumains, pour me retenir et ne pas lui balancer tout mon jus dans la chatte, il ne manquait plus que ça, que je la mette enceinte.

Et ce putain de chien, qui avait fini par monter discrètement sur le canapé, s’était placé derrière moi.

il n’arrêtait pas de me bouffer le cul et les boules, et dans ces conditions, le contrôle n’était vraiment pas facile, parce qu’il m’excitait vraiment.

Sa langue n’arrêtait pas de fouiller mon anus et ça me procurait d’incroyables sensations.

— Je te fais encore mal ? T’aimes ça ?

— Grave ! Oui vas-y continue comme ça doucement. Rusti est en train de te lécher ? Et t’as l’air d’aimer ça hein, vieux salaud.

Je ne sais pas pourquoi, mais l’entendre me traiter de "vieux salaud" ça m’excitait.

Je ne lui ai pas répondu et je continuais à la limer comme elle me l’avait dit, lentement et profondément.

Ma queue chauffait de plus en plus, et je me demandais combien de temps encore, ...