Comment j'ai depucelé et baisé ma jeune et dévergondée belle fille. (1)
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Mentalist, Source: Xstory
... insister et je lui juste dit, que je trouvais ça un peu osé et surtout dangereux.
Elle fit un tour sur elle-même, comme pour me montrer qu’elle était devenue une belle jeune femme, mais surtout c’était je crois, pour me montrer discrètement, la lingerie qu’elle portait.
Wow ! Quelle bombasse je me suis dit.
En plus de ses bas up noirs, elle avait un petit slip brésilien assorti.
Attiré par le bruit et l’air qu’elle avait brassé en tournant sur elle-même, le chien s’approcha doucement de Chloé par derrière, et glissa sa truffe entre ses fesses comme pour la sentir.
J’eu un sursaut, alors que Chloé, se contenta de rigoler en lui disant :
— Mais dis donc, à qui t’as demandé la permission toi ?
Rusti, c’est ainsi que Chloé avait baptisé son chien, s’assit sur ses pattes arrières, en signe d’allégeance.
Chloé se pencha en avant, pris la tête du chien entre ses mains et l’embrassa à pleine bouche.
— Mon boooo chien, lui dit-elle.
Rusti lui rendit la pareille, et sortit sa langue pour lui lécher le visage.
La scène ne dura que quelques secondes, mais en tout cas suffisamment, pour que je m’aperçoive que Chloé en avait profité pour sortir la sienne, et échanger avec le chien, un très court baiser avec sa langue.
Puis, comme si de rien, elle vint s’asseoir sur le canapé à côté de moi.
Il lui restait encore, une bonne demi-heure, avant qu’on vienne la chercher.
Moi, j’étais encore et j’ose le dire, excité par la scène que je venais de ...
... voir.
Ma belle-fille n’était jamais gênée de rien, de ses tenues, ou de ses pauses lascives et provocantes.
C’est ainsi, qu’elle était venu s’asseoir à côté de moi, sa jupe remontée à mi-cuisses et sans même prendre la peine de la rebaisser, pourquoi faire ? M’imaginait-elle insensible à ses charmes ?
Toujours est-il, que je voyais le haut de ses bas et un bout de sa petite culotte, mais bon, ça ne la gênait pas plus que ça...
J’avais dû recroiser mon peignoir, pour ne pas qu’elle s’aperçoive, que ma queue avait commencé à se redresser.
L’effrontée avait décroché deux boutons de son chemisier, et sa poitrine s’offrait généreusement à mon regard.
— Je suis fracassée je pourrais faire une mini sieste là, j’ai rien dormi la nuit dernière j’ai fait des cauchemars.
— Bah oui pourquoi pas, tu as une bonne une demi-heure encore, si tu veux je baisse un peu la TV.
— Non c’est bon, ça me dérange pas.
Et elle s’enfonça dans l’angle du canapé, la tête en arrière. Sa jambe droite était à moitié repliée sur le canapé, tandis que la gauche était ouverte et pendait dehors au sol, et reposait sur le tapis.
À présent je voyais totalement son entre cuisses, ma belle-fille était vraiment une bonnasse.
Je n’osais pas bouger, de peur de la réveiller et de perdre cette "vue imprenable". Au bout d’une minute environ, le chien s’approcha de nous. Il tournait, se couchait, se relevait, se retournait de nouveau, que cherchait-il ?
En fait, ce qui semblait l’intriguer le ...