Comment j'ai depucelé et baisé ma jeune et dévergondée belle fille. (1) - Histoires de Sexe

Comment j'ai depucelé et baisé ma jeune et dévergondée belle fille. (1)

... plus, c’était Chloé, il ne l’avait pas quitté du regard un seul instant.

Et puis il s’approcha d’elle, fixa son regard sur son entre-jambe, s’approcha encore un peu, et tendit le museau en avant, comme pour la sentir. Il était maintenant à quelques cm de sa petite culotte, et tel un chien d’arrêt devant sa proie, il semblait comme figé.

Après quelques secondes dans cette position, il a mis sa truffe sur sa petite culotte, et doucement il a commencé à lécher la petite chatte de ma belle-fille, à travers la dentelle noire.

J’ai cru que mon sexe allait éclater et j’étais jaloux de lui. Je regardais avec délectation, du vice même j’oserais presque dire.

Puis, machinalement, j’ai posé ma main droite sur mon peignoir et tout doucement sans quitter des yeux cette scène surréaliste qui s’offrait à moi, j’ai commencé à caresser mon membre qui n’attendait que ça je crois.

Chloé se laissait faire..! Pouvait-elle ne pas sentir les lapements de son chien, même au travers de sa petite culotte ?

Je ne sais pas, je ne l’aurait pas parié, ma petite belle fille était assez effrontée pour jouer cette comédie ! Mais était-elle assez vicieuse, pour se faire lécher par son chien, ça c’était une autre histoire.

Toujours est-il que Rusti commençait à bien s’échauffer. Je voyais sa bite sortir de son fourreau, la mienne avait déjà pris de l’avance. J’entendais nettement à présent, la langue du chien qui commençait à s’énerver sur sa nouvelle conquête.

Je regardais avec de ...

... nouveaux yeux et surtout un nouveau regard, cette gamine presque allongée sur le canapé à 50 cm de moi, les cuisses ouvertes et la jupe presque remontée, qui semblait ignorer ce qui se passait.

J’ai eu alors un geste complètement insensé. Enfin en tous cas, l’ai-je pensé, à ce moment-là.

Je me suis approché de Chloé, lâché mon sexe quelques secondes et j’ai écarté sur le côté la petite culotte de cette post ado.

Surprise ! Elle n’était pas épilée, et ça m’avait doublement excité, ça faisait au moins 20 ans que je n’avais pas vu une petite chatte avec des poils.

Le chien s’engouffra presque aussitôt dans ce tunnel brun, et moi je m’étais levé quelques secondes pour éteindre les lumières et mettre le téléphone de Chloé sur "silence", je ne voulais certainement pas être dérangé dans cette vision, par un quelconque message.

Maintenant, il n’y avait plus que la lumière de la TV qui éclairait si on peut dire, le séjour.

Je me branlais de plus en plus fort, jamais je n’aurais imaginé que ma belle-fille, cette gamine que j’avais vue grandir, puisse me faire un tel effet.

J’avais pris soin de remuer ma queue sous mon peignoir, au cas ou elle se réveille.

Il y avait comme une espèce de fièvre qui m’envahissait, et mon front, devenait de plus en plus chaud.

Mais qu’est-ce que je faisais ?!

Je ne pouvais pas quitter des yeux, la langue du chien qui n’arrêtait pas de bouffer la chatte de la petite ; et mes yeux passaient discontinuellement, de son entre jambe à ...