1. Le chenil (2)


    Datte: 11/09/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... plusieurs semaines d’affilée.
    
    — Mon Dieu que c’est triste. Non, je parle bien de femmes qui vivent seules, mes amies, presque des sœurs. Et puis, cela mettrait du beurre dans vos épinards, non ?
    
    — C’est certain. OK, qu’elles viennent ! On saura les accueillir comme il se doit d’être.
    
    — Merci mon cher. Je savais que vous comprendriez. Colette, vous avez là un mari en or.
    
    — Et bien fait de sa personne quand il s’agit de vous envoyer parmi les étoiles.
    
    — J’imagine, vu son bel engin. Bon, il me faut rentrer.
    
    — Je vais vous chercher Fucker, dis-je.
    
    Elle me suivit jusqu’à l’enclos. Je vois bien que l’envie de se faire prendre la tenaille encore. Il était cinq heures du matin, je n’ai pas trop à la pousser pour qu’elle pénètre entièrement nue dans l’enclos de Fucker. Cette fois, seule avec lui, je les ai regardés faire de plus amples connaissances, et faire leur petite affaire. Ma Colette est près de moi, sa main sur ma queue. Je l’ai possédée, là, près de l’enclos, contre le grillage, comme un gros chien avec sa femelle.
    
    Seulement, je n’ai pas vu venir Hunk. Ce salaud en a profité pour me lécher mon fion, avant de me planter sa bite dans mon cul, et en visant juste, ce pourceau. Isabelle semble ravie de me voir enculer par Hunk. J’avoue que si j’ai détesté, ce ne fut qu’un très bref instant, cela n’a pas duré que le temps d’une respiration. C’est que cet enfoiré sait enculer comme personne. Je n’ai pas pu me retenir de jouir, ce chien m’a fait jouir dans ...
    ... la chatte de ma douce compagne qui, tournant la tête, voit Hunk m’enculer. Elle me sourit en comprenant ma situation, sa bouche est alors un régal. Un moment plus tard, je sens Hunk jouir dans mon cul. Il reste encore un moment avant de se retirer et venir me lécher mon visage et celui de ma douce colombe. Quand Isabelle sort de l’enclos, Fucker l’accompagne. Je sais déjà qu’ils seraient désormais inséparables. C’était là notre meilleure carte de visite. Du coup, un peu moqueuse, Isabelle me chambre un peu pour Hunk. Je l’embrasse tendrement.
    
    Sa réponse est tout aussi tendre que mon baiser. Dans le salon, Hunk et Fucker se tiennent côte à côte comme de vieux potes. Quand Isabelle sort de la douche, Fucker s’empresse d’aller se mettre près d’elle.
    
    — Je crois que tu tiens le bon bout avec lui.
    
    — Je le crois aussi, mon cher...
    
    — Alain. Oublie mon cher, ça fait trop pompeux !
    
    — Oui, c’est ça, j’avais oublié, pardonne-moi, Alain. Bon, demain je me lève tôt, alors, je vais y aller.
    
    — Maintenant, il est tout juste...
    
    — Oui, mais je commence tôt.
    
    — Tu veux qu’on le garde jusqu’à ce soir ?
    
    — Je pense que cela vaut mieux, je n’aurais pas le temps de passer chez moi, de toute manière, merci bien.
    
    — Heu, je te signale que tu ne portes qu’un simple peignoir.
    
    — J’ai toujours de quoi me changer dans le coffre de la voiture, c’est au cas où !
    
    Se levant, elle prend le temps d’expliquer à son nouveau compagnon la raison de son départ. Fucker n’en a rien à ...
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