Le chenil (2)
Datte: 11/09/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... vétérinaire, la nourriture et le nettoyage des enclos. Mon mari me donne déjà beaucoup avec ses chantiers et puis il s’est mis à retaper tout le chenil durant ses moments libres. Je ne veux pas lui en demander davantage, vous comprenez.
— Là, vous pouvez compter sur Isabelle. Je suis votre homme ! Façon de parler. Mais tous ces chiens, ils ne sont à personne ?
— Pour la plupart, non, enfin, si; ils sont à nous deux. Seule une petite dizaine est en pension, mais bon, cela ne couvre pas tout.
— Je vois, comptez sur moi pour revenir souvent alors. Depuis le départ de mon mari, le décès de mon chien, je vis seule. Alors, pensez si je suis en manque. Voilà déjà une avance, non, ne refusez pas, je vous trouve aussi sympas qu’ouverts et vous ne m’avez pas déçue. Dites, mon cher, la prochaine fois, ordonnez-moi plus sèchement, j’ai adoré vous obéir.
— Aucun souci alors. Perso, j’ai adoré vous voir vous mettre en position aussi vite et sucer Pistole.
Puis, fatiguée, elle prend congé de nous, non sans nous avoir copieusement embrassés tous les deux. Nous la regardons partir, en sachant indubitablement qu’elle va revenir, déjà pour prendre Fucker oublié dans sa précipitation, son trouble et son harassement.
Dans la nuit, une voiture s’arrête brusquement devant la maison, au milieu des aboiements des chiens. Je descends à toute berzingue et à poil dans ma précipitation. C’est Isabelle, et rien qu’en peignoir qui plus est, l’air complètement affolé. Elle s’excuse, elle ...
... se dit tellement troublée par ce qu’elle avait vécu qu’elle en a oublié son nouveau compagnon. Dans le chenil, ce sont des loups qui hurlent en sentant l’odeur d’Isabelle, celle de Colette qui arrive, vu qu’elle nous rejoint à moitié nue. Autour d’un bon café, Isabelle nous explique être rentrée, s’être couchée avant de se réveiller en pleine nuit en se traitant de sombre courge. Là, on a bien rigolé, je peux vous le jurer. Sur la table, elle pose le prix du chien, c’est nettement plus que la somme convenue, presque le double à voir la liasse posée devant nous. Le temps de faire les papiers dans les règles, je la vois discuter avec Colette, de chiens qui baisent.
Colette lui confie qu’elle aime les dresser pour cela, surtout ceux qui arrivent, abandonnés par leurs maîtres. Alors que je reviens faire signer les documents, Isabelle me fixe longuement, l’air songeur.
— Mon cher, que penseriez-vous si je vous amenais des amies adeptes de ce genre de pratiques zoophiles ?
— Mais qu’elles viennent, on ne va pas refuser du monde quand même. Par contre, j’ai quelques soucis si des hommes venaient. Certains peuvent se montrer particulièrement rustres. Cependant, nous mettons une petite condition, pas plus de cinq à la fois. Nous ne voulons pas épuiser nos chiens.
— Il a raison, nous avons eu un cas d’adoption l’an passé. Le chien nous est revenu complètement à plat et sérieusement blessé. On a été obligé de le faire piquer pour le grand malheur d’Alain qui l’avait veillé ...