1. Serveur d'un soir (4)


    Datte: 07/07/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Maximalia, Source: Xstory

    ... relâche jusqu’à son réveil. J’avais tout mon temps. Un de mes frottements ou succions finirait bien par exalter les sens de Max. Réactiver son désir, qu’il soit enfoui dans ses rêveries ou à fleur de la réalité. Je me relevai alors, et j’eus soudain envie de me toucher très fort. Je commençais à saisir ma toison quand je me rendis compte que sous moi, comme une continuité naturelle, se trouvait la raie du fessier modelé de Max. Ma caresse continua plus bas pour atteindre son périnée. Mon pouce se positionnait sur son anus quand le reste de mes doigts parcourait toute la zone courbée pour buter sur ses bourses un peu plus rétractées que durant notre coït acrobatique.
    
    Là, je le sentis d’abord se mouvoir un peu, dans une rotation latérale, comme on le ferait pour augmenter le frottement de son sexe contre le matelas. Max devait bander dans son subconscient, émoustillé par mon opération maligne. Il était difficile de vérifier l’étendue de son érection dans sa position actuelle, mais c’était un bon début.
    
    J’enfonçais un peu plus mon pouce pour caresser la raie de son cul saillant, et j’obtins immédiatement l’effet escompté : un gémissement langoureux, toujours en surface de l’inconscient. L’effet était miroir, je m’émoustillais davantage, motivant à décupler l’ardeur de mon entreprise.
    
    J’envisageais clairement d’explorer quelques zones autant voire plus érogènes de l’anatomie diabolique de Max. J’allais pour chercher son gourdin déjà tendu pour le faire passer entre ses ...
    ... jambes, dans la continuité de son cul, comme pour congestionner ses bourses et obtenir le dessous de sa tige nervurée et conduisant au frein si distinguable. Une route en soi, reliant la base au gland, fruit gonflé par mes sollicitations répétées et distillées de toutes parts.
    
    Mon corps était toujours en quinconce de celui de Max, face à l’entrée de sa chambre.
    
    J’aperçus d’abord une lumière éclairer le couloir attenant.
    
    Le rai de lumière balayait le sol de la chambre selon un quadrilatère évasé qui suivait ensuite le volume du matelas jusqu’à baigner le bas des jambes équitablement velues de mon lionceau encore endormi. Cette partie du corps encore plus visible me tendit d’émoi. Je déduisais que la lumière venait de la pièce parfaitement en face, de mémoire la salle de bain.
    
    De savoir une présence à quelques mètres seulement m’excitait davantage encore.
    
    Ma main coula donc sous la jambe droite de Max pour saisir sa bite et la ramener dans le prolongement imaginé.
    
    Mais alors que mon regard portait sur mon action, je sentis une ombre balayer le faisceau à nos pieds. Cela me figea immédiatement, le temps de vérifier ce mouvement. A mon grand étonnement, l’ombre demeurait. Intacte. Immobile. De toute évidence, quelqu’un attendait derrière la porte.
    
    Mon sang ne fit qu’un tour, car ma pleine main en contact prolongé sur le membre enflé de Max le faisait murmurer de plaisir de façon de plus en plus ostensible. Et il m’est d’avis que notre invité surprise devait le ...