1. Souvenirs de mon année Erasmus (2)


    Datte: 06/07/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Napelast, Source: Xstory

    ... profonde.
    
    Je savourais aussi et mon excitation était à son maximum.
    
    Puis, progressivement et en accélérant, je commençais mes mouvements du bassin. Ma vue était braquée sur sa poitrine qui accompagnait le rythme de haut en bas avec les coups de boutoir que je lui donnais. Rapidement, elle joignit les mains au mouvement, en agrippant mes fesses pour que je pousse plus fort et plus loin. Elle n’était définitivement pas innocente comme je l’avais imaginé.
    
    Après une dizaine de minutes, je finis par fatiguer. Elle en demandait plus que je ne pouvais et il était clair que je manquais d’entraînement. Elle le sentit et décida de changer de position en me chevauchant. Sans transition, elle s’enfourcha sur ma bite et nous pûmes continuer nos activités d’amants déchaînés. Ses hanches et son cul se mouvaient de façon parfaite pour pouvoir prendre en elle, le maximum de mon chibre, qu’elle accueillait à chaque fois en poussant un petit couinement très mignon.
    
    Je repris un peu de mes forces, tout en savourant ce pur moment de plaisir. Mes mains n’étaient pas en reste : tantôt sur les hanches, tantôt manipulant cette magnifique poitrine, elles ne savaient plus où donner.
    
    Décidé à reprendre les choses en main, je la fis se mettre à quatre pattes sur son lit dans une position idéale pour la prendre par-derrière. Ma bite était en feu. Je n’en avais plus pour longtemps. Je la pris en levrette de façon presque violente en faisant bien claquer mes cuisses contre les siennes. ...
    ... Encore une fois, mes mouvements étaient accompagnés de sa lourde poitrine qui balançait la mesure avec les coups. Elle était aux anges et moi aussi.
    
    Alors que je sentis l’explosion proche, je m’allongeai quelque peu sur son dos, agrippant avec mes mains ses deux beaux seins et malgré moi, incapable de me retenir davantage, expulsa trois jets de sperme dans le préservatif. Le corps tendu, je restais dans cette position une à deux minutes, exténué.
    
    Je me retirai et me mis à l’embrasser, elle avait retrouvé son grand sourire.
    
    — Je n’ai pas eu le temps de jouir, me dit-elle.
    
    — Pas le temps ? Tu n’es pas du genre rapide, lui répondis-je sur le ton de l’humour.
    
    — Je savourais parce que c’était exquis. Ça faisait longtemps, et je sais me retenir pour profiter.
    
    — Je le pensais aussi, mais face à toi, j’ai dû abdiquer.
    
    — Tu pourras me reprendre rapidement tout à l’heure quand tu auras repris ton souffle ? me demanda-t-elle tout en soupesant délicatement mes couilles avec sa main droite.
    
    — On verra, lui répondis-je en souriant.
    
    — Je ne voudrais pas perdre une occasion de profiter d’un si gros pénis, c’est pas tous les jours que j’en ai l’occasion.
    
    Nous travaillâmes encore une bonne heure sur le projet et comme promis, je la repris rapidement dans la salle de bains, elle assise sur le lavabo, sa main torturant son clitoris, son bras autour de mon cou, sans retenir son dernier cri au moment de l’orgasme. Les sensations de cette journée avaient été incroyables, et ...
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