Souvenirs de mon année Erasmus (2)
Datte: 06/07/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Napelast, Source: Xstory
... faire 15. Son corps était celui d’une femme, quoique le visage gardait quelques traits juvéniles. Son esprit en revanche était celui d’une lycéenne si bien, qu’en temps normal, j’aurais pu légitimement me demander ce que je faisais ici.
Quand je repense aujourd’hui à cette journée, je reste impressionné par la détermination et l’absence de doute qui régnait dans mon esprit. Je ne cessais de la complimenter de façon relativement intelligente et discrète sur son physique et je voyais qu’elle éprouvait des difficultés à cacher l’effet que lui faisaient ces flatteries.
Nous travaillâmes deux bonnes heures sur le projet et malgré son niveau d’anglais qui l’empêchait parfois d’exprimer certaines de ses idées, nous avions bien avancé. Tout en travaillant, je ne cessais de la regarder tel un prédateur qui observe sa proie avant de se jeter dessus.
Elle décida soudainement de partir dans la cuisine faire du thé. Après 5 min, me sentant seul dans la chambre, je la rejoignis. Les événements par la suite s’enchaînèrent très vite et j’agis quasiment uniquement par instincts. Néanmoins, j’en garde encore aujourd’hui un souvenir impérissable.
Je m’approchai d’elle et lui posai un doux baiser sur la joue pendant qu’elle était en train de fixer la théière en train de bouillir. Surprise, elle tourna son visage de façon immédiate dans ma direction et c’est là que je commençai à l’embrasser fougueusement. Déséquilibrée par cette première attaque, elle m’agrippa le tee-shirt.
Sur ...
... le coup, je crus que c’était une façon de me repousser, mais très vite, je me rendis compte qu’elle était incapable, saisie par la surprise de résister à mon offensive. Nous nous embrassâmes durant de longues minutes durant lesquelles je sentis la résistance diminuer d’intensité.
Avant que ma main n’y aille s’y promener pour la caresser et la malaxer, je sentis sa poitrine contre mon torse. Quelques bouts de tissus me séparaient de mon objet de convoitise. Je voulais découvrir ses seins, j’en mourrais d’envie. Lorsque ma main prit contact avec elle, à travers le soutien-gorge et le tee-shirt, elle essaya alors de me repousser :
— Lucas je ne pense pas que ...
— Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer, lui soupirai-je dans l’oreille.
Je faisais démonstration d’une confiance déconcertante qui anéantissait dès le départ toutes ses tentatives de révolte.
Sa poitrine semblait parfaite au toucher : elle devait faire un bon C. Je ne pouvais plus patienter encore une minute pour la découvrir. Cette poitrine, je n’avais pas cessé de l’imaginer lors de la dernière soirée à travers sa chemise qui jouait avec les transparences.
Ma main baladeuse continuait sa route vers son cul, qu’elle prospecta sous tous les angles. Cette fois-ci, je passai la barrière du tissu, pour directement glisser ma main sous sa culotte. Ses fesses étaient froides, mais fermes. Je sentis son souffle plus fort sur mon épaule, il était indéniable qu’elle appréciait ce que j’étais en train de ...