Candaulisme
Datte: 04/07/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
candaul,
Collègues / Travail
vacances,
plage,
hotel,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
pénétratio,
double,
Auteur: Xavier curieux, Source: Revebebe
... mouvements de va-et-vient lents, puis plus rapides du membre qui la possédait. La peau brune de Fabio contrastait avec celle très blanche de mon épouse. Comment décrire ce que je ressentais à ce moment ? Un mélange d’excitation sexuelle et de frustration. Le sentiment que ma femme était en train de m’échapper. Mais aussitôt je me reprenais, ne pas céder à un réflexe de propriétaire. Personne n’est propriétaire de quiconque, même si une union a été scellée. Et puis on se fait une bonne conscience à peu de frais. Je lui apportais là une preuve d’amour et de confiance en lui laissant prendre du plaisir avec un autre. Après tout, c’était elle qui avait déclenché ce qui était en train de se passer même si je n’étais pas tout à fait étranger à ce qui arrivait.
La respiration de Martine s’accéléra, elle émit quelques sons rauques, puis se tordit sous l’homme qui se déchaîna. Les pubis des amants se heurtèrent avec violence, aux soupirs des deux amants succéda des gémissements puis quelques cris étouffés. Au moment du paroxysme, elle tourna la tête vers moi, nos regards se croisèrent, je lus dans ses yeux le plaisir qu’elle prenait et qui n’avait d’égal que le mien, malgré toutes mes pensées contradictoires, de la voir ainsi jouir. Fabio est resté un moment en elle sans bouger, puis il s’est retiré. La sueur perlait sur leurs corps. Ils sont restés l’un contre l’autre sans bouger. Puis Fabio s’est levé et s’est dirigé vers la salle de bain. Je profitai de son départ pour me ...
... déshabiller à mon tour. J’avais besoin de sentir son corps contre le mien. Je m’allongeai sur le lit encore chaud de leurs ébats, pris Martine dans mes bras.
— Merci, me dit-elle à l’oreille. Je t’aime.
Je ne savais qui devait remercier l’autre. L’émotion était trop forte, elle éclata en sanglots. Je savais que ces larmes ne traduisaient pas une peine, mais au contraire un intense bonheur. Je buvais ses larmes, la pressais contre moi, la couvrais de caresses. Son entrejambe était encore humide de son envie et du plaisir pris.
On entendit la douche couler, puis Fabio revint. Il avait le sourire aux lèvres.
— Alors, les amoureux, contents de vous retrouver ? dit-il narquois.
Et s’adressant à moi :
— Tu sais, ta femme est formidable.
Il nous rejoignit sur le lit. Martine était entre nous deux, lui dans son dos. Elle sursauta quand elle sentit le sexe de Fabio qui cherchait son chemin entre ses fesses. Elle m’interrogea du regard. D’un battement de cils, je lui donnai mon accord. Voulait-il entrer par la porte de derrière ? Il semblait que non, elle avait creusé les reins et introduit son amant dans son vagin. Tout contre son ventre, je ressentais (indirectement) les coups de boutoir qu’elle recevait contre ses fesses. Je pressais ma poitrine contre ses seins tandis que l’homme derrière s’agitait. Je buvais la bouche de ma chérie. Elle enfonçait ses doigts dans mon dos, me mordait les lèvres, me couvrait de baisers. Dans un souffle, elle lâcha :
— Je vous veux ...