Formateur est un beau métier – Coraline - Histoires de Sexe

Formateur est un beau métier – Coraline

... votre métier, et une autre fois, elle a prononcé le début de notre prénom. Donc vous confirmez ?
— Je confirme, mais j’ose espérer que vous saurez tenir votre langue. Je ne voudrais pas que Nathalie ait des problèmes.

Elle affiche un large sourire :

— Pas de souci, Viannet. Alors comme ça, vous fricotez avec ma copine ? Et en plus, vous faites partie de ses réguliers ? Félicitations !
— Euh… merci…
— Pas de quoi. Si Nath vous conserve, c’est parce que vous en valez la peine, et pour moi, c’est la meilleure carte de visite !

Malgré cet éloge à peine voilé, je reste prudent :

— Si vous le dites…
— Nathalie a plusieurs amants, vous le savez, je suppose.
— Oui, je suis au courant, et c’était une des choses que je devais accepter si je voulais continuer avec elle. Et vous, vous avez ou vous avez eu plusieurs amants ?

Elle marque un petit temps de réflexion avant de répondre :

— Oui, je reconnais que je n’ai pas toujours été fidèle, mais mon mari aussi, donc nous sommes quittes.
— Un partout ?
— Oh, un peu plus qu’un, figurez-vous ! L’une des premières fois, ce fut dans un salon avec un autre exposant. Même si le type n’était pas un dieu du plumard, ce fut excitant. Je suis une allumeuse, je le reconnais, mais je ne fricote pas avec n’importe qui.
— C’est tout à votre honneur.

Elle me regarde avec amusement :

— Je commence à comprendre pourquoi Nath a flashé pour vous. Je suppose que c’est cette retenue, ce côté gentleman, mais qui peut cacher le ...

... voyou !
— Moi, un voyou ?
— D’après Nath, vous auriez parfois un côté autoritaire de bon aloi. Je peux avoir un exemple de votre côté obscur ?
— On ne vous a jamais appris qu’il était plus sage de ne pas réveiller les forces du mâle ?

Elle sourit :

— Mâle avec un accent circonflexe ? Alors, ce côté obscur ?
— Je pourrais commencer sagement en demandant que vous dévoiliez par exemple une épaule.
— S’il n’y a que ça…

Aussitôt, elle dévoile son épaule droite, ce qui la rend encore plus sexy. Gourmande, elle demande :

— Et ensuite ?
— De dévoiler les deux épaules, en détachant quelques boutons de votre gilet-robe.

Sans plus attendre, elle dévoile son autre épaule. Le spectacle en vaut la peine. Sans complexe, elle enchaîne :

— Voilà, c’est fait. Et ensuite ?
— Vous êtes insatiable, Coraline ! Mais moi aussi, je peux l’être à ma façon.

Elle me met au défi, cette femme aime jouer :

— Ah oui ? Et comment ?
— Imaginez que j’exige des insanités…
— Hmm… Lesquelles par exemple ?
— Au choix : de vous mettre toute nue ; de me faire une belle et longue fellation ; de vous masturber, cuisses largement ouvertes devant moi ; de vous mettre à quatre pattes, cul en buse. Je continue ?

À cette liste, elle ouvre de grands yeux :

— C’est dingue, vous êtes capable de dire ça sans effort, calmement, comme si vous parliez de la pluie et du beau temps !
— Je sais, et c’est pratique.

Coraline réduit la voilure :

— Et dans les petites insanités ?
— Pour ...