Un désir à satisfaire (1) - Histoires de Sexe

Un désir à satisfaire (1)

... fantasme que représentait ma mère. Pas même plusieurs rencontres, toutes très agréables, faites sur le campus. Dans ma petite chambre d’étudiant, pour chacun de mes plaisirs en solitaire, il n’y avait que ma mère pour tenir le rôle principal de scénarios toujours plus torrides issus de mon imagination débordante.

Pour ne rien vous cacher, même si j’en ai un peu honte aujourd’hui, j’avais fini par collectionner des dizaines de photos prises à son insu. Un véritable trésor constitué au fil du quotidien. Des clichés de ma mère sur lesquels elle apparaissait de dos, postérieur en évidence alors qu’elle s’activait à remplir le lave-vaisselle, de face, poitrine posée sur la table au cours d’une partie de scrabble ou bien encore vêtue d’une courte nuisette complètement détendue sur le canapé à regarder le téléfilm du soir. Il m’arrivait parfois de prendre tous les risques pour saisir l’instant, capter l’image qui me ferait entrer en transe une fois seul avec mes envies.

J’avais une série de photos très spéciales prises directement de sous sa jupe grâce à un stratagème des plus simples. Les jours d’été où ma mère portait une tenue légère, je m’asseyais en début d’après-midi en haut des marches, descendant sur un chemin menant lui-même au portail de la maison. Alors que ma mère, toujours à heure fixe, passait à côté de moi pour aller chercher le courrier, elle s’appliquait à ne pas manquer le premier degré. Moment choisi pour flasher. Feignant de m’exposer au soleil, téléphone ...

... en main et mode photo activé, il me fallait être armé d’une patience à toute épreuve. Beaucoup de ratés pour très peu d’images exploitables avec visibilité très nette de sa culotte et des plis de son sexe.

Mon joyau avait été décroché à l’occasion d’un petit-déjeuner en tête-à-tête. Face à elle, le téléphone sous la table et orienté entre ses jambes suffisamment écartées pour une photo dévoilant tout d’un véritable sexe de femme. De grandes lèvres brunes et une pilosité maîtrisée, mais tout de même abondante sur le pubis. Vous le devinez, toutes ces photos stockées sur une clef USB étaient largement utilisées comme supports visuels lors de mes séances de masturbation.

Le diplôme en poche, j’ai très rapidement trouvé du travail. Un job dans la communication qui me rapprochait à seulement quelques kilomètres de ma famille. J’emménageais dans la foulée dans un petit appartement sous les toits d’un immeuble de ville. Une nouvelle étape pouvait ainsi commencer. Entièrement autonome, je me lançais pour de bon dans la vie. Célibataire, je venais de prendre vingt-cinq ans, maman s’approchait quant à elle de la cinquantaine et n’avait pas changé depuis que mon désir pour elle s’était révélé.

Je continuais donc chaque soir, ou presque, à me masturber sur les photos de ma génitrice... C’était même devenu l’essentiel de mes activités sexuelles de jeune adulte, exception faîte d’une rencontre ou deux, mais rien de bien enthousiasmant. Ma mère focalisait l’essentiel de mes envies ...