Un désir à satisfaire (1) - Histoires de Sexe

Un désir à satisfaire (1)

Après avoir pris beaucoup de plaisir à suivre les histoires postées sur le site, je décide à mon tour de partager l’expérience la plus belle qu’il m’a été donné de vivre sur le plan amoureux et aussi, il faut bien l’avouer, sur le plan sexuel. Autant ne pas ménager l’attente et annoncer dès maintenant que la partenaire qui m’a accompagné dans la fabuleuse aventure que je vais tenter de retranscrire le plus fidèlement possible n’est autre que ma mère.

A quel moment tout ce qui va suivre a-t-il commencé ? Sans doute à cet instant précis où, adolescent, enfermé dans la salle de bain familiale, je m’apprêtais à entrer sous la douche avant que mon regard ne soit attiré par les sous-vêtements maternels. Un soutien-gorge aux bonnets généreux et une culotte taille haute innocemment abandonnés par ma chère maman sur le dessus du panier à linge sale. Deux pièces assorties de couleur rose qui n’avaient rien de particulièrement sexy, mais qui avaient eu sur moi un effet hypnotique instantané.

Après un temps d’hésitation, je pris délicatement la lingerie en main et, la faisant glisser entre mes doigts, j’en explorais toute la surface, m’attardant finalement sur la partie qui avait récemment été au contact de l’intimité sacrée. Je ne pus m’empêcher de porter le tissu à mon visage pour en découvrir les parfums naturels. Saisi d’une excitation instinctive, je fus alors incapable de me contrôler, me laissant aller à la plus apaisante des masturbations.

Voilà pour ce qui est à ...

... considérer comme le point de départ d’un fantasme littéralement dévorant, car à partir de ce jour, je n’ai cessé de regarder ma mère avec toute la convoitise que peut avoir un homme pour une femme. Une obsession qui m’a amené à tenter de la surprendre en petite tenue chaque fois que la porte de sa chambre restait ouverte et à ne pas laisser passer une journée sans fureter dans le panier en osier de la salle de bain, faisant toujours preuve d’une grande discrétion.

Je n’avais pas loin de dix-huit ans à cette époque, et ma mère avait la quarantaine passée. Laissez-moi vous la décrire en quelques lignes : de petite taille avec son mètre soixante-cinq, brune, les cheveux coupés court même s’il lui est arrivé de laisser un peu de longueurs pour adopter un carré qui lui allait à ravir, les yeux d’un bleu très clair et une bouche aux lèvres charnues. Voilà pour l’essentiel. Pas tout à fait me direz-vous. Me reste quand même à souligner une poitrine formée de deux seins lourds aux aréoles larges et brunes et aux tétons saillants. Un 95D que je rêvais de caresser et de prendre en bouche. Enfin, n’oublions pas ses hanches agréablement marquées qui étaient un véritable appel au contact physique. La dernière décennie et la nature peu sportive de ma mère n’avaient pas manqué de faire naître quelques rondeurs qui n’en rendaient que plus appétissant ce corps tant désiré.

Lorsque mes études m’ont amené à quitter le domicile de mes parents, l’éloignement n’a jamais réussi à me détourner du ...