1. Les nouvelles de Rosie : Une maman en chaleur, un voyeur intransigeant


    Datte: 03/07/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: rosiel, Source: Xstory

    ... s’est-il pas manifesté plus tôt.
    
    Je peux maintenant voir son sourire. Il est visiblement de très bonne humeur et son regard me semble complice désormais.
    
    En une fraction de seconde, je m’étais imaginé tellement de choses que la situation actuelle, finalement, me redonne confiance en moi.
    
    Toujours debout, contre la fenêtre, je laisse ma main à nouveau glisser vers ma chatte, ouvrant à nouveau les pans de mon peignoir.
    
    De là où il est, il ne voit pas plus bas que mon torse. Il ne peut pas voir ce que je fais, seulement deviner. Mes gros seins sont, eux aussi, encore suffisamment cachés par mon peignoir.
    
    Je me sens en sécurité.
    
    Alors j’écarte légèrement les jambes, je me caresse.
    
    On se fixe dans les yeux mutuellement.
    
    Je me mords la lèvre inférieure. Aguicheuse, salope.
    
    La situation en est presque cocasse, surréaliste. Personne de sensé ne comprendrait mon comportement et pourtant : “c’est lui le pervers qui me mate ! C’est lui qui a commencé !”
    
    Comme toujours, je trouve une justification à ma perversion.
    
    Je suis maintenant sur une seule jambe, l’autre relevée pour mieux me caresser et me doigter.
    
    J’essaie de trouver un point d’appui pour mon pied en l’air - une chaise, la table, que sais-je.
    
    Mon voyeur me dévisage toujours, très attentif au moindre de mes mouvements.
    
    Après quelques minutes de ce traitement, je suis dans un état second.
    
    Je deviens de plus en plus salope.
    
    Sans réfléchir aux éventuelles conséquences, je fais ...
    ... glisser mon peignoir et me retrouve totalement nue.
    
    Je malaxe mes gros seins en gémissant doucement.
    
    Je recule un peu afin de permettre à mon voyeur d’apercevoir enfin mon corps dans son intégralité.
    
    Et, comme s’il s’agissait d’une invitation parfaitement claire pour lui, il s’approche de la fenêtre d’un pas assuré.
    
    Je sais que je devrais arrêter maintenant. Après tout, je ne suis pas seule, mon fils n’est pas si loin que ça et il est évident que s’il venait dans le salon maintenant, je n’aurais pas le temps de me couvrir. De plus, je suis dos au couloir menant à sa chambre, les fesses appuyées contre l’angle de la table à manger.
    
    De manière générale, j’évite de laisser mon fils me voir me doigter comme une grosse salope en chaleur au milieu du salon ! Mais il y a des fois où le plaisir est tout simplement trop important.
    
    L’angle de la table en bois m’écarte un peu les fesses à mesure que je me laisse aller.
    
    Ma main droite s’agite frénétiquement sur ma chatte dégoulinante. Je sens les premières éclaboussures de cyprine sur mes cuisses.
    
    Pendant une seconde, de vue, je perds mon pervers vers la fenêtre, mon regard se tourne.
    
    Le salaud a trouvé une bien meilleure place : le voilà devant la porte en verre reliant la cuisine ouverte au jardin !
    
    Il me voit donc de côté. Son air a changé, il semble impatient et me fait comprendre, d’un mouvement de tête, de le laisser entrer.
    
    Moi je suis au bord de la jouissance depuis maintenant de trop longues ...