Les nouvelles de Rosie : Une maman en chaleur, un voyeur intransigeant
Datte: 03/07/2023,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: rosiel, Source: Xstory
... non plus, il est occupé et je l’entendrais bien arriver.
Je me doigte avec des mouvements réguliers mais pas particulièrement rapides, je veux prendre mon temps, faire durer le plaisir.
Je vais pour fermer les yeux et me laisser aller à mon plaisir lorsque soudain, un je-ne-sais-quoi me sort de mes pensées. Je viens de sursauter pour une raison inconnue. Vous savez : cette impression d’être observée, comme si un reflet était passé devant la fenêtre. On ne sait pas tout de suite si c’est réel ou si on se l’est imaginé, mais cela suffit à nous rappeler au monde réel.
Je regarde autour de moi. Pas un bruit.
J’ai oublié de fermer les stores mais la fenêtre donne sur notre petit jardin, lui-même protégé des regards indiscrets par une haie de deux mètres de haut.
J’ai certainement rêvé. Me faisant surprendre par mon propre bruit ou par mon reflet s’agitant dans la vitre.
Je jette un œil par la fenêtre pour me rassurer. Il fait complètement nuit et, gênée par mon propre reflet, je distingue à peine le bout du jardin - pourtant petit.
“C’est ridicule, comme si quelqu’un allait se cacher, par ce froid, dans mon jardin, juste pour tenter d’apercevoir quelque chose d’intéressant !
Je profite d’être debout pour faire glisser ma culotte à mes pieds tout en gardant mon peignoir.
Bien déterminée à prendre beaucoup de plaisir et à perdre moins de temps avec mes idées tordues de voyeurs pervers, je m’assoie et pose directement mes pieds -ou plus exactement : mes ...
... mollets-, sur le bureau. J’aime beaucoup cette position ; mes cuisses sont largement ouvertes, ainsi que mes lèvres humides.
Une fois parfaitement installée, je reprends ma masturbation, plongeant à nouveau deux doigts dans ma chatte.
La gêne de la culotte étant écartée, mes mouvements sont plus précis et plus rapides. Le plaisir monte très vite.
Et alors que je suis au bord de la jouissance, un bruit venant du jardin me fait sursauter.
Je bondis de ma chaise, refermant mon peignoir aussi vite que possible.
Cette fois, aucun doute possible : il y a quelqu’un dans le jardin !
Mon côté rationnel me fait aussitôt penser que c’est Jean, mon mari, qui serait rentré plus tôt que prévu. Mais c’est hautement improbable.
J’éteins la lumière du salon pour tenter à nouveau de voir à l’extérieur.
Et… Je le vois.
Il est là.
Et ce n’est pas Jean !
J’ai beaucoup de peine à le distinguer nettement devant la haie.
Tout de noir vêtu, je ne vois clairement que ses yeux qui me fixent. Sur la pelouse, je vois une des pelles que nous avons l’habitude de ranger au fond du jardin, sous le balcon des voisins du dessus.
Il a donc délibérément utilisé la pelle pour faire du bruit et m’interpeller ? A-t-il trébuché dessus ?
De toute façon, il ne se cache pas, ne cherche pas à fuir non plus. Il attend ma réaction, dans l’ombre.
Et… Moi aussi j’attends ma réaction !
Que fait-il là à une heure pareille ? Est-ce qu’il m’observe depuis le début ? Pourquoi ne ...