Cérébrales Compulsives Anonymes
Datte: 02/07/2023,
Catégories:
h,
fh,
grp,
hagé,
fagée,
couleurs,
inconnu,
ascendant,
religion,
bizarre,
sexshop,
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fdomine,
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
jeu,
sm,
attache,
BDSM / Fétichisme
confession,
fantastiq,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... couteau rituel sur l’autel. Sa voix est complètement transformée. Elle répète les mots de manière mécanique, comme si un être supérieur prenait possession d’elle et allait guider ses gestes.
Peu à peu, elle se met à danser d’un pied sur l’autre, au même rythme que les tambours assourdissants. Je ne vois pas son visage, mais je sens dans ses mouvements que la transe n’est plus loin. Ses muscles tressaillent, ses mains se crispent, ses pieds battent le sol à une vitesse vertigineuse, un souffle rauque s’échappe de sa gorge.
J’ai si peur. Je suis suspendue à la décision de l’Être supérieur, en priant, vraiment en priant, qu’il choisisse le sperme et non le sang, quoi qu’il m’en coûte.
Enfin, la femme se jette au sol, roule sur elle-même, avant de finir prosternée devant l’autel.
— Donne son dû à Gran Met ! Que le sperme gicle ! hurle-t-elle à mon intention, sans se relever.
Le jeune serviteur me pousse alors tout contre le prisonnier, dont le sexe encore timoré arrive juste à hauteur de ma bouche. Libérée de toute inhibition par le cérémonial qui a précédé, je me vois prendre le sexe en main, puis en bouche. Mécaniquement, sans la moindre hésitation, je commence à en lécher le bout. Je ne suis plus moi-même, j’ai une mission divine à accomplir et je mets tout en jeu pour y arriver.
Dans un premier temps, la verge se dresse et reprend une belle ampleur contre mes lèvres. La Mambo comme sortie de sa transe s’approche et, à travers l’orifice buccal du masque, se ...
... met à lécher la hampe et les couilles encore gonflées depuis la sortie de la cabine de branlette. Les premières secousses qui traversent le sexe bien érigé laissent présager du meilleur.
C’est malheureusement à ce moment que la métisse choisit d’alterner plaisir et douleur sur le corps sans défense de celui qu’elle appelle maintenant Papa Guédé. À deux mains, elle tord les tétons du gars qui retient bravement ses gémissements, mais souffre visiblement le martyre. D’un coup, sous l’effet de la surprise et de la douleur, son érection disparaît. Depuis ce moment, tous mes efforts pour le faire bander restent vains.
La prêtresse entre dans une colère noire. Je suis une mauvaise femme, qui ne respecte pas la volonté de Gran Met, incapable de faire gicler le sperme d’un Loa en rut, hurle-t-elle en me bousculant pour reprendre ma place et glisser le sexe de l’homme entre ses lèvres.
Pour me punir, le serviteur me saisit sans ménagement sous les bras et, d’un coup de hanche, me jette sur la roue, le ventre contre le bois. Il m’attache solidement, les jambes et les bras largement écartés. Sans défense, je me mets à pleurer dans l’attente du pire.
Entre deux sanglots, j’entends la femme encourager Papa Guédé, exiger qu’il se lâche, qu’il donne sa semence à Maman Brigitte, qu’il honore Bondye d’une abondante offrande. Il n’en faut pas plus pour que le type se vide dans la bouche de la vestale, qui, entre deux gorgées, le félicite avec force détails sur la consistance et le ...