De délicieuses vacances (partie 2)
Datte: 11/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DXD, Source: Hds
... Elle avait encore sa queue de cheval, ce qui dégageait son visage d’ange. Son corps de rêve était toujours trempé de sueur, ce qui était assez excitant. Mais surtout, elle me dévisageait avec ses beaux yeux bleus, d’un air insolent, un sourire narquois et coquin, toujours sur ses lèvres. Elle me narguait encore pour la défaite qu’elle venait de m’infliger ! L’heure de la correction était venue.
Je me levai d’un air brusque, et claquai la porte du gymnase, la fermant à clé : on ne nous dérangerait pas ! Puis, d’un pas décidé, je fonçai sur la belle Blonde, qui m’attendait avec son sourire moqueur et coquin, que j’avais bien l’intention d’effacer.
Je la saisis par les hanches, et l’attirai contre moi. Je l’embrassai furieusement, pressant mon corps contre le sien et la poussant vers le mur. Elle me rendait mon baiser avec fièvre, enroulant ses bras autour de mon cou.
Je la soulevai, et la plaquai contre le mur, elle eut un léger gémissement d’excitation. J’embrassai son cou avec force, tandis qu’elle enroulait ses jambes autour de ma taille pour me coller contre elle. Après son cou, je descendis sur son décolleté, que j’embrassais avec avidité. Sa peau était chaude et humide après l’effort du sport, mais elle ne sentait pas mauvais, malgré la transpiration qui perlait sa peau, elle ne sentait pas mauvais. Je voulus lui retirer sa brassière, mais elle m’arrêta en plein geste. Visiblement, elle aimait être baisée à moitié habillée. Alors, je lui retirai son short, et ...
... après avoir enlevé mon pantalon et caleçon, je la pénétrai avec force.
J’allais et venais en elle, la culbutant contre le mur, littéralement dopé par la vision de son corps de rêve, et par le souvenir de ma défaite de tout à l’heure. D’autant que régulièrement, la Blonde me regardait dans les yeux d’un air de défi, et me servait à nouveau son sourire provocateur. Elle me défiait de la baiser plus fort et plus vite, ce que je faisais avec de plus en plus d’agressivité et de vigueur. La belle Suédoise gémissait et même criait, mais ne s’arrêtait pas pour autant de me sortir son sourire narquois. Au bout d’une dizaine de minutes cependant, les choses avaient changé. Je la baisais toujours plaquée contre le mur, avec le même rythme, et la même intensité. En revanche, ma belle Blonde ne me souriait plus d’un air narquois. Ma queue la limait avec force et sans répit, mon torse musclé se pressait contre sa poitrine gonflée, et mes mains puissantes la tenaient immobilisée contre le mur, tandis que je la limais, encore et encore. Désormais, son visage était décomposé par le plaisir, et son sourie narquois avait disparu. J’avais en quelque sorte atteint mon but, j’étais fier de moi.
A présent, cette petite victoire me donnait littéralement des ailes, et je la baisais avec une force et une vigueur totalement décuplées, massant en même temps ses merveilleux seins, frissonnant à leur contact. La Blonde me tira par la nuque, et m’attira contre elle, m’embrassant avec passion. Elle finit ...