De délicieuses vacances (partie 2)
Datte: 11/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DXD, Source: Hds
... lançai aussitôt dans la bataille. Je courais après chaque volant, tâchant de frapper suffisamment fort et de façons suffisamment précise pour faire courir ma belle adversaire… mais rien n’y fit. Presque à chaque fois, elle parvenait, par un coup puissant et rapide, à me déplacer sur le terrain, et à prendre l’ascendant. Les points s’enchaînaient, et elle en gagnait toujours plus, creusant l’écart. En la voyant courir à grande allure, sa volumineuse poitrine se secouant agréablement, en la voyant arborer un petit sourire coquin de triomphe à chaque point, en la voyant se pencher pour ramasser le volant, mettant en valeur son superbe fessier, et en sentant mon sexe devenir de plus en plus dur devant ce spectacle, je compris le calvaire qu’avait vécu les garçons avant moi : non seulement elle était très forte, mais en plus, il était impossible de se concentrer face à une telle bombe !
Le match dura un bon quart d’heure. En dépit de mes efforts, je ne parvins pas à revenir au score, et finis lourdement battu. La belle Suédoise abordait un petit sourire coquin, ravie de sa victoire, et me provoquait du regard.
Autant vous dire qu’en retournant dans les vestiaires, une fois la séance terminée, j’étais partagé entre la déception d’avoir perdu, un léger sentiment d’humiliation devant cette défaite, et surtout un très fort sentiment d’excitation. J’entrai dans les vestiaires des garçons, et soudain, quelqu’un me dépassa assez brusquement. C’était la belle Blonde, qui se ...
... dirigeait vers les vestiaires des filles. Juste avant d’y entrer, elle se tourna vers moi, et me servit un sourire encore plus moqueur que les précédents. J’en fus échauffé au possible.
Je pris tout mon temps pour me changer. Une intuition, sans doute… Je traînai si bien, que les autres garçons étaient déjà partis quand je n’avais fait qu’enlever mon t-shirt. Puis, les vestiaires des filles se vidèrent à leur tour, ses occupantes en sortant les unes après les autres. Moi j’attendais, toujours torse nu sur le banc des vestiaires des garçons. Je fus flatté de voir que toutes les filles ou presque me jetèrent des coups d’oeil intéressés en sortant. Mais ce qui me plaisait surtout, c’est que la belle Suédoise ne se montrait toujours pas : elle aussi devait traîner.
L’animateur de la séance sortit à son tour. En passant il me dit :
« Je vous laisserai fermer. »
« Ok, pas de problème lui répondis-je. »
Après qu’il fut sorti, une fille quitta à son tour le vestiaire des filles. Elle jeta elle aussi un coup d’oeil à mon torse nu, et l’interpellant, je lui demandai si il restait quelqu’un dans les vestiaires. Elle me répondit qu’il ne restait plus qu’une seule fille : ma belle Suédoise bien évidemment. Je la remerciai, et lui souhaitai une bonne journée, et elle parti, l’air un peu déçu. J’attendis encore un peu, quand, enfin, la belle Suédoise sortit.
Elle aussi avait traîné : elle était toujours dans sa tenue de sport, en brassière noir, et mini-short de la même couleur. ...