La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1050)
Datte: 11/09/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Walter lui-même qui serait resté silencieux dans la pièce qui observerait le moindre de mes faits et gestes. Je restais donc là, le temps que dura le repas. J’étais dans un état second, totalement incapable d’en estimer la durée ! Je ne retenais qu’une chose : J’étais surexcitée et je voulais être baisée comme une chienne ! Ma cyprine coulait sans retenue …
Puis tout le monde revint dans la pièce. Je pensais qu'enfin ma "douce" torture allait prendre fin. Sans qu'un mot ne me fut adressé, je fus libérée de la cage et de mes attaches, mais ni du bandeau, ni des morceaux de gingembre. On reposa ma laisse à sa place et on y donna un petit coup sec, m’ordonnant ainsi de reprendre ma place de chienne en quadrupédie. On me guida à travers la pièce puis on me stoppa. J’entendis alors le claquement de doigts caractéristique du Maître, et je me prosternais alors instantanément.
- Ma chienne, le gingembre, sans avoir le droit d’être prise, sans avoir le droit de jouir est déjà une première épreuve tellement tu dois en être fortement excitée par ses effets aphrodisiaques. Je vais te soumettre à une nouvelle épreuve qui me démontrera ta parfaite confiance en Moi, si tel est le cas ! Je fais saisir ta laisse et tu vas me suivre toujours les yeux bandés. Tu ne te poses pas de questions, tu me suis, sans hésitation. Tout est dans la confiance en Moi …
Je fis ce qu’Il exigeait. Il emprunta des couloirs dans tous les sens, je n’arrivai pas à me repérer, je ne savais pas dans quelle ...
... partie du Château nous nous trouvions. J’entendais les pas des Invités qui nous suivaient en silence. Nous entamâmes alors ce qui me semblait être la montée de très nombreuses marches d’escaliers comme si on montait tout en haut du donjon jusqu’à sa pointe tuilée. Parfois on s’arrêtait et on me portait pour me faire continuer à monter d’autres marches plus hautes et ceci plusieurs fois. Quand on me portait, je suppose que c’était pour m’éviter les passages trop étroits et abrupts afin de ne pas me blesser aux murs certainement étroits étant aveuglée par le bandeau. Et tout à coup, je sentis l’air frais, comme si nous nous trouvions devant une fenêtre. Non, une baie vitrée plutôt… Ca y est, j’ai compris c’est la grande fenêtre de la verrière qui est posée sur la pente oblique sous le faîtage tout en haut. Le Maître s’accroupit près de moi, me saisit une main et la fit parcourir le sol. Enfin jusqu’à ce que je ne le sente plus car ensuite il y avait le vide. Il me fit balancer la main, pour bien me montrer qu’il n’y avait rien devant moi. Un jour je lui avais dit, que s’Il me demandait de sauter, je le ferai, car j’avais la plus totale confiance en Lui et que je savais que je ne risquais rien avec Lui. Mon Dieu ! Il m’avait donc prise au sérieux ?
- Ma chienne, je veux que tu te mettes debout. Je vais t’emmener au plus près du bord, je veux que tu y accroches tes orteils. Et quand je te dirais « saute ! » je veux que tu le fasses, que tu te laisses tomber les bras en croix ...