La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1050)
Datte: 11/09/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... défilé des mains baladeuses et inquisitrices qui parcoururent la moindre parcelle de mon corps, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, des doigts s’insinuants entre mes lèvres vaginales, ou plus ou moins profondément dans mon anus. On me faisait ouvrir la bouche pour me faire nettoyer des doigts couverts de ma cyprine qui coulait abondamment sous tant d’attouchements. Mes mamelles de chienne en chaleur étaient travaillées, malaxées, pincées, griffées, claquées, malmenées. Mes tétons furent étirés, vrillés, pincés également. Malgré le peu d’espace dont je disposais, on me fit ouvrir grand la bouche pour l’inspecter également, vérifiant la bonne hygiène de mes dents. Bref, tout mon corps fut minutieusement examiné, du moins autant que cela était possible en étant enfermée ainsi.
- Mes amis, l’on me fait signe que tout est prêt. Marie, ma fidèle cuisinière devrait une fois de plus émerveiller vos papilles. Quant à toi, Ma chienne, je veux absolument que tu restes en chaleur, alors voici de quoi m’en assurer. Tu as, bien évidemment, l’interdiction formelle de jouir ! (et, baissant la voix et se rapprochant de mon oreille :) Je veux et j’exige que tu gardes pour Moi tes orgasmes et tes cris !
Et je sentis que le Maître poussait quelque chose à l’intérieur de moi. L’effet ne se fit pas attendre, et je reconnus très rapidement la brulure si caractéristique et si excitante du gingembre avec ses puissantes vertus aphrodisiaques. Il en inséra trois morceaux, longs et fins, ...
... déposa un baiser sur mes lèvres à travers la grille qui nous séparait et très vite, les voix s’éloignèrent jusqu’à ce que la pièce devint absolument silencieuse. Ses mots résonnaient en moi. J’allais avoir droit à plusieurs orgasmes plus tard, mais provoqués par Lui. Je savais cependant que si je fautais lors de la soirée, je risquai fort d’en être privée ! Sans parler de la sanction à laquelle je devrais m’exposer et sans oublier aussi que si je jouissais sans autorisation donc, ma plus grande punition aurait été la tristesse de Le décevoir…
J’inspirai profondément, la bouche ouverte. Je sentais la chaleur de la racine de gingembre qui me remplissait se diffuser, je commençais à ressentir cet effet particulier qui me donnait une folle envie de me faire prendre comme une chienne en rut ! Et quand je parle de folie, ce n’était pas exagéré ! Je ne pouvais pas bouger et pourtant, je l’aurai pu, j’aurai ondulé du bassin, je me serais frottée à tout ce que j’aurai pu trouver qui aurait pu assouvir le feu qui me tenaillait délicieusement le ventre ! J’aurai pu supplier, mendier pour que le Maître revienne, me prenne et m’ordonne de jouir. N’ayant pas reçu l’autorisation de me faire entendre pour le moment, je n’osais pas gémir, et je serrai les dents et les lèvres pour qu’aucun son n’en franchisse la barrière, ne doutant pas que d’une manière ou d’une autre, je devais être surveillée, soit par une caméra disposée quelque part, soit par un domestique, un soumis ou peut-être même ...