Pénitence et conséquences
Datte: 01/07/2023,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
nopéné,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... à coup leurs proies pour glisser vers le pubis. Ma main s’écarte pour leur faire place, mais revient aussitôt se plaquer sous l’aisselle de leur propriétaire pour assurer son équilibre. Je sens la naissance de son sein qui palpite sous la légère pression. Déborah soupire.
En face de nous, quatre paires d’yeux attentifs suivent ses mouvements. Les doigts ont maintenant rejoint la vulve. Ils jouent un instant avec les poils mouillés, puis les entortillent et les saisissent. Je devine la traction qui élargit l’entaille déjà entrouverte. Les regards qui l’observent deviennent plus aigus. J’entrevois les pouces qui forcent le clitoris à saillir. J’imagine leurs frères posés sur les nymphes, qui les massent, qui les lissent, qui révèlent peu à peu le corail qu’elles tentaient de couvrir. La respiration de Déborah se fait plus profonde.
Une main remonte sur la motte. Un index et un majeur encadrent le capuchon, entament un mouvement de va-et-vient, lentement d’abord, tendrement, calmement… l’action s’accélère soudain, devient plus dure, plus brutale. Les doigts enserrent la naissance du bouton, repoussent la peau sensible, cherchent à se joindre, tordent et secouent la frêle olive incarnate qui pointe. Comme pour la punir. L’autre main plonge entre les lèvres, deux doigts s’enfoncent jusqu’aux jointures. Quelques brefs soubresauts remuent le bras qui pèse contre moi. Les doigts émergent, luisants, et s’écrasent sur le clitoris tourmenté. Ils le frottent frénétiquement, ...
... l’abandonnent, replongent et reviennent avec encore plus d’ardeur. Déborah gémit.
Ma tête s’est penchée sur son épaule. Elle tourne fugitivement son visage, je sens son souffle haletant sur ma joue. Sa main gauche agace de plus en plus vite le bourgeon, la droite supplée à son absence dans le con. Le mouvement est saccadé et profond, les doigts doivent fouiller la grotte, explorer la muqueuse, exalter son excitation. Des bruits mouillés montent de la vulve, des gouttes grasses s’éparpillent, un parfum puissant s’exhale. Tout à coup une main s’échappe, s’empare d’un téton, l’étire, le roule, le tord, le pince, arrache une plainte, et retourne plus active à son ouvrage. L’autre main la remplace. Déborah se crispe à chaque tourment qu’elle s’impose.
Elle s’est rejetée en arrière, la nuque appuyée au dossier, les yeux figés. Je suis la direction de son regard. Debout dans le dos des spectatrices trop médusées pour sentir ta présence, tu as libéré ta poitrine de l’échancrure de la robe. Les pans écartés dévoilent la chatte que tu caresses d’une main agile, l’autre comprimant et brassant un sein, le bout roulant entre pouce et index. Aucun son ne trahit ton acte, mais par ton exemple tu stimules et tu exacerbes la masturbation de la pénitente. Veux-tu adoucir sa peine ou forcer sa jouissance aux extrêmes limites ?
Les gestes de Déborah se précipitent, ses mains s’affolent entre la vulve et la poitrine, désespérant de ne pouvoir satisfaire à la fois l’une et l’autre, fouiller le ...