1. Pénitence et conséquences


    Datte: 01/07/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents (1 à 5) :
    
    —questions, espoirs et désillusions »
    —une mise en situation réconfortante »
    —des avantages d’être servie »
    —échanges de politesses »
    —évaluations à chaud »
    —jeu de rôle, disiez-vous ? »
    
    Partageant un fantasme avec son inspiratrice, Aline, Chantal s’imagine participer à une formation hôtelière aux méthodes de management très particulières. D’abord déconcertée et humiliée, elle voit ses désirs sexuels stimulés par des exercices érotiques aussi réjouissants pour les protagonistes que pour les spectatrices. Une pause amène à des confidences de plus en plus lestes entre les deux amies et leur hôtesse, madame Marie-Blanche C**. La traditionnelle séance d’évaluation s’achève par l’arrivée de deux étudiantes bientôt invitées à se joindre au stage. Après un repas convivial, madame C** se retrouve piégée dans l’élaboration de la punition d’une stagiaire, Déborah. L’application et la perversité de la sanction réunissent autour de la coupable, Aline, Chantal, Clémence et son amie Viviane, petite cousine de madame C**, celle-ci, ainsi que sa jeune soubrette, Sandrine, qui devient à son corps défendant un sujet d’intérêt.
    
    Sandrine s’est immobilisée, à mi-chemin de la chauffeuse, sa blouse dans les mains. Elle voudrait les ramener sur sa poitrine pour masquer les tétons coupables. Mais pour cela, il faudrait désobéir, ne pas disposer le vêtement comme il le lui a été ordonné. Elle ne peut se décider ni dans un sens ni dans l’autre, ...
    ... ou fuir, qui sait ? Elle regarde autour d’elle. Déborah, nue, debout devant elle, attend posément, le visage impassible ; Viviane et Clémence la fixent, narquoises ; toi, Aline, tu l’observes, à peine intéressée ; moi, à demi compatissante, je regrette presque ma plaisanterie ; et madame C**, agacée, s’impatiente. Un ange passe, hésite à s’apitoyer… et se détourne.
    
    — Eh bien, ma fille ? nous n’avons pas toute la nuit !
    
    L’injonction a l’effet d’une mèche de fouet sur la croupe d’une pouliche. Sandrine est comme projetée vers la chauffeuse, étendant de son mieux son mince tablier sur le siège du meuble. Hélas pour elle, la pose qu’elle adopte dans son souci de bien faire n’est guère moins révélatrice. D’autant plus penchée sur sa tâche que le tissu rétif rebique obstinément, elle nous présente ses fesses rondelettes entre lesquelles s’absorbe tout entière la ficelle du string. Un fin triangle oblong entre les cuisses atteste seul de la présence du sous-vêtement. Vision cocasse quoique charmante qui déclenche derechef des commentaires amusés, sauf de notre incurable bourgeoise d’hôtesse.
    
    — Sandrine, voyons ! tenez-vous correctement, vous êtes indécente, rabroue-t-elle dans un sursaut de bienséance.
    — Oh, ma tante, elle fait comme elle peut, minimise Viviane. Sans doute qu’elle a un peu forci. Ce n’est pas de sa faute, c’est le string qui est devenu trop étroit !
    — Oui, mais ça lui fait un beau cul, remarque Clémence, qui ajoute à mi-voix dans l’oreille de son amie : ...
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