Un Réveillon bien avant la Covid (1)
Datte: 30/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Heubi, Source: Xstory
... réussi à l’enlever. Reprends en main ses seins (dont les pointes avaient durci).
J’interpellai ma femme en lui demandant de l’encourager. Du coup elle recula et ses fesses vinrent au contact du bas-ventre du puceau qui bandait durement. La scène dura quelques minutes. Il malaxa les masses laiteuses maladroitement et savoura l’instant se demandant sans doute s’il ne rêvait pas. Je proposai à ma femme de glisser son bras dans son dos et de masser cette colonne de chair.
— Il est bien dur me dit-elle.
— Tu as déjà possédé une fille lui demandai-je ? Sa réponse fut, bien sûr, négative.
— Tu aimerais que Jennifer soit celle-ci ? Il fallut dresser l’oreille pour entendre un petit oui.
— Demande-lui si elle est d’accord.
Pour réponse, elle se retourna et l’enserrant par le cou, elle posa ses lèvres sur les siennes. Après une légère étreinte, elle s’agenouilla et ouvrit le pantalon du jeune majeur. Elle dégagea son sexe qui se dressa fièrement devant son visage. Elle l’enveloppa avec sa main et commença un massage avant de poser ses lèvres sur le méat, après l’avoir fièrement décalotté puis elle l’emboucha. Devant son excitation, je lui conseillai de se retenir, même si manifestement son inexpérience allait le contraindre à éjaculer rapidement. Il essaya tant bien que mal de ne pas s’épancher dans cette caverne buccale chaude et humide.
Jen ayant comprit qu’il lui serait difficile de se retenir, cessa sa fellation, se releva puis, prenant la jeune et grosse verge ...
... en main, retroussa sa jupe et frotta la queue sur sa culotte. Je me collai dans son dos et baissai légèrement celle-ci pour qu’elle puisse la mettre en contact avec sa toison brune. Je me rendis compte qu’elle avait opté pour un porte-jarretelles et des bas. Elle accéléra la masturbation et rapidement elle sentit fuser le sperme du gamin contre sa chatte. Elle continua sa caresse. Il avait éjaculé une bonne quantité de foutre chaud contre son intimité. Je remontai cette frêle étoffe, prenant soin de bien étaler cette semence sur son entrejambe.
— Je ne peux pas rester comme ça, me dit-elle, il faut que je me change !
— Tu n’en as plus le temps, ça sonne.
Les invités arrivèrent et il lui fut difficile de s’éclipser. Quant à Arthur, il eut juste le temps de se réajuster.
La soirée pouvait commencer enfin ! L’ambiance prenait forme, l’apéritif s’éternisait, Arthur n’avait d’yeux que pour ma femme. Vers 22h00, on finit par s’asseoir et je demandai à mon épouse d’être près du père d’Arthur avec le gamin en face d’elle, à côté de sa mère. Moi-même je m’étais mis en bout de table coté d’une voisine, mariée mais seule, son mari étant en Afrique cinq mois sur douze. Les autres étaient avec leurs femmes.
J’allumai le four dans le garage, il était temps de passer aux plats. Aussi je demandai à ma femme et à Arthur, de venir avec moi pour lancer la cuisson et servir. Nous avions une bonne dizaine de minutes devant nous. Aussi après avoir enfourné ces derniers, je proposai ...