Un Réveillon bien avant la Covid (1) - Histoires de Sexe

Un Réveillon bien avant la Covid (1)

Ce réveillon... Ahlala...

Il date de quelques années, quand la Covid n’existait pas. C’était notre tour et nous attendions des voisins et amis : une douzaine de personnes. Durant l’après-midi nous avions débarrassé, avec l’aide d’un jeune voisin et de son père, le salon et le couloir de tous les meubles encombrants et les avions entreposés dans le garage, sans imaginer que le canapé serait très sollicité durant cette nuit ! Après, il avait fallu préparer l’espace pour pouvoir y manger et fêter ce nouvel An.

Nous sommes des libertins très occasionnelles !

Arthur, le jeune voisin venait d’être majeur et son père, nouveau quinquagénaire, avait pour habitude lors de différentes soirées festives de serrer ma femme d’un peu trop près. Je me doutais que cette soirée lui en donnerait à nouveau l’occasion. Nous sommes de jeunes trentenaires et souvent elle me relatait que lorsqu’il y avait des slows, elle sentait son désir pressé contre son ventre. Pour autant, à ce jour, il n’y avait rien eu de plus. Mais cela faisait partie de certaines déviances lors de nos relations, la laissant imaginer qu’elle couchait avec.

Nous nous sommes préparés pour la soirée. Je m’étais très vite habillé et mon épouse avait pris plus de temps. Lorsqu’elle descendit, elle portait une jupe longue et un bustier. Elle prévoyait d’enfiler au début de la soirée une veste légère sur ses épaules avant qu’elle puisse la retirer lorsque les invités seraient là. Le rendez-vous avait été fixé vers 20h30. ...

... Nous avions du temps devant nous et je lui faisais remarquer que son soutien-gorge était trop visible et qu’elle ferait mieux de le retirer.

— Je vais avoir l’air de quoi avec mes seins en libertés sous mon bustier ? Me dit elle !

— Je pense que personne ne dira quoique ce soit ! C’est le réveillon et les autres femmes vont également se faire désirables.

Ce fut à ce moment que la sonnette retentit. Il était 20h00 et Arthur devançait ses parents. Je l’interpellai en lui demandant ce qu’il pensait de la tenue de Jennifer (ma femme). Il devint rouge pivoine: elle devait faire partie de ses fantasmes masturbatoires depuis longtemps et lui demander ce qu’il pensait de la présence ou pas du soutien-gorge le mit dans une position difficile. Il bafouilla un "je ne sais pas" et du coup une idée me traversa l’esprit. Persuadé qu’il devait être puceau, je décidai par l’intermédiaire de Jen’ d’en faire un homme.

— Mets-toi dans son dos, lui dis-je !

Il s’exécuta toujours aussi mal à l’aise.

— Pose tes mains sur ses seins.

Ma femme me regarda interrogative. Maladroitement, il empoigna par-dessus le bustier, les deux renflements mammaires. Cela devait être la première fois qu’il palpait une poitrine féminine.

— Baisse son bustier, tu verras c’est mieux.

Ses deux mains caressaient à présent la dentelle du sous-vêtement.

— C’est agréable lui demandai-je ?

Un oui emprunté sorti de sa bouche.

— Retire-lui... Tu vas voir c’est encore plus sensuel, après avoir ...