La bonne, la brute et la toubib
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
Lesbienne
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... son appartement. Par bonheur, Jean-Frédéric n’ayant jamais eu d’emploi très stable et n’étant pas même pacsés (c’était vulgaire selon lui !), l’appart était à son seul nom. Mais appart bien trop grand pour sa petite personne. Les premiers mois, elle s’était uniquement préoccupée de sa survie, maintenant, elle devait réagir. Avec Cécile, elles cherchèrent une solution et la plus évidente leur parut de chercher une colocataire. Pas un homme, il était hors de question qu’un homme partage, ne serait-ce que son appartement. Elle passa une annonce. Après deux semaines et plusieurs appels fantaisistes, une nana la contacta. Sylvie Sincaz correspondait à ses critères de recherche et surtout, au téléphone, le courant avait passé immédiatement. Il fut décidé qu’elle emménagerait dès le week-end suivant.
Marie-Jo, le samedi reçut un coup de fil de Sylvie la prévenant qu’elle arriverait en fin d’après-midi. Cécile et elle en profitèrent pour faire un brin de ménage.
Vers 17 h, sa future colocataire l’appela. Elle avait trouvé sans mal l’immeuble, mais elle ne savait trop où se garer. Marie-Jo descendit lui déverrouiller une place. Quand la nouvelle venue s’extirpa de son petit cabriolet décapoté, elle eut une soudaine montée de chaleur. Elle devait être un peu plus jeune qu’elle : une quarantaine assumée. Grande, élancée (un « petit » mètre quatre-vingt-cinq), blonde aux cheveux courts coiffés à la diable, elle était irrésistible. Par ce bel après-midi de juin, elle portait une ...
... jupette de tenniswoman et un simple t-shirt blanc qui ne cachaient rien de sa musculature ni de ses formes. Une amazone ! Telle fut la première pensée de Marie-Jo.
Au moment des présentations, elle en bafouilla. L’autre s’aperçut de son trouble et en parut satisfaite. Quand elle sortit de sa voiture, dépliant sa longue silhouette, Marie-Jo, subjuguée, mais encore assez lucide s’interrogeait : pourquoi une si belle femme, si classieuse avait-elle besoin d’une colocation en urgence ?
— Pffffffff ! J’ai encore fait ma blonde ! J’ai mis une heure pour trouver où tu habites.
Tutoiement d’office alors qu’au téléphone… Un ton très nature, mais surtout une voix profonde à damner un saint. Et Marie-Jo avait perdu son auréole depuis longtemps. Ébullition dans un shorty. Depuis qu’elle s’envoyait en l’air avec Cécile, Marie-Jo regardait les femmes autrement. Et celle-là… mazette !
Avec un sourire enjôleur, la femme lui demanda si elle pouvait l’aider à porter ses bagages. Comment résister ? Elle lui avait dit qu’elle voyageait léger et qu’elle n’amènerait que le strict nécessaire. Elle avait une drôle de conception du strict nécessaire : trois valises et un certain nombre de sacs. Cela leur prit un bon moment. Heureusement, Cécile les aida.
Après l’effort, le réconfort. Installées, côte à côte, sur le canapé, dans le coquet petit salon, elles firent connaissance. Quand Marie-Jo proposa un verre de bienvenue, Sylvie commença par refuser prétextant qu’elle ne buvait pas. Mais ...