1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 10/09/2018, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... s’accroche au battant de la porte, et ramena le peignoir. Entre-temps, Marie-Jo, effondrée, gisait à même le sol. Elle la releva tant bien que mal et, après lui avoir enfilé le vêtement, la « déposa » sur une chaise. Elle la força à boire plusieurs tasses de café. Sans surprise cela se termina au-dessus de la lunette des toilettes où Marie-Jo vomit toute sa bile, au propre comme au figuré. Après un passage obligé par la salle de bain, elle parvint à asseoir Marie-Jo dans le canapé du salon.
    
    Comme elle sanglotait de nouveau, Cécile la reprit dans ses bras. Elle tâchait, malgré le désir qui la taraudait, de rester sereine, de ne donner aucune inflexion sexuelle à son étreinte. Aussi quelle ne fut pas sa surprise quand une main s’introduisit sous son pull pour lui caresser le ventre. Déroutée, elle resta sans réaction, tant elle était bouleversée par cette intrusion.
    
    Maladroitement, Marie-Jo tenta de sortir le t-shirt du pantalon afin d’insinuer sa dextre à même la peau.
    
    Machinalement, Cécile se souleva afin de lui faciliter la tâche.
    
    Lorsque les doigts effleurèrent une partie ultra-réactive de son abdomen, elle abandonna toute résistance. Elle tenta une ultime opposition.
    
    — Marie-Jo, tu fais quoi, là ?
    
    Pour toute réponse Marie-Jo lui scella les lèvres par un doux baiser. Que faire ? Depuis le temps qu’elle attendait cela ! La raison lui disait que… mais qu’est-ce qu’elle en avait à foutre de la raison quand une langue tentatrice explorait sa bouche, ...
    ... qu’elle fondait littéralement sous les assauts affamés. Elle répondit à ce baiser. Ses mains se glissèrent sous le peignoir et empaumèrent les seins encore humides. Marie-Jo, tenaillée par une pulsion primitive, l’avait basculée sur le sofa, et la chevauchait. Elle frottait son mont contre le mont « adverse » avec énergie. Cécile, par de tendres caresses, de tendres attouchements, parvint à canaliser toute cette fougue. Calmée et apparemment dégrisée, Marie-Jo dégrafa le pantalon de Cécile, le fit glisser de manière à pouvoir atteindre ses fesses. Sans autres fioritures, elle fit suivre le même chemin à la culotte.
    
    À nouveau, elle put frotter son sexe contre le sexe ami, mais cette fois avec une telle douceur qu’elle ne pouvait qu’émouvoir sa « petite » camarade. Cécile essaya une nouvelle fois :
    
    — Tu sais ce que tu es en train de faire ?
    — Oui ! C’est mal ?
    — Non ! cela dépend de tes désirs
    — J’ai trop envie de câlins ! Ça fait si longtemps !
    — Même venant d’une femme ?
    
    Pour toute réponse, Marie-Jo prit la main de Cécile et la porta à sa chatte. Sentir sous ses doigts, cette motte malléable, à la folle toison… Cécile décolla. Dans un pas, relevant plus du tango « futal en tire-bouchon » que du rock-and-roll, elle extirpa sa conquête du divan et l’entraîna vers la chambre. Un lit ferait mieux l’affaire pour ce qu’elles avaient en tête. En chemin, elle se débarrassa de ses chaussures, de son futal et de sa culotte. Marie-Jo avait fait de même avec son peignoir. Elles ...
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