1. Concours : Déjeuner sur l'herbe, par Nkari. (1)


    Datte: 28/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Nkari, Source: Xstory

    ... tarte aux myrtilles ? Propose Alice. Je l’ai préparée moi-même d’après une recette de ma tendre mère.
    
    Héloïse laisse échapper un petit rire moqueur.
    
    — Voilà qu’elle fait elle-même ses tartes comme une vulgaire miséreuse... Tss ! N’aviez-vous pas de domestiques là d’où vous venez ?
    
    — Allons Héloïse, ne soyez-pas impolie avec l’amie de mon frère. Bien entendu ma douce Alice, nous prendrons une part, n’est-ce pas mon amour ?
    
    — Oui, volontiers, cède Héloïse.
    
    Alice sourit. Elle découpe avec lenteur trois parts qu’elle dispose dans des assiettes et les distribue aux autres. Héloïse, d’une humeur suspicieuse, observe la part. Elle plante une petite cuillère d’argent et d’une geste raffiné, gobe une bouchée du dessert. Son expression hésite entre afficher son plaisir gustatif et critiquer par mauvaise foi les talents culinaires d’Alice.
    
    — Vous ne prenez pas de part ? s’étonne Paul.
    
    — Non. J’ai assez mangé et puis j’étais plutôt tentée par une autre sucrerie.
    
    Alice accompagne sa réponse d’un regard de braise et, adoptant une allure féline, s’approche de lui à quatre pattes. Une main se dépose sur la cuisse de Paul et glisse vers son entrejambe. L’homme frémit d’excitation. Son frère lui envoie un clin d’œil complice tandis que Héloïse observe la scène sans cacher son mépris.
    
    — Laisse-la faire Paul, lui conseille Louis. Sa bouche fait des merveilles !
    
    — Tss ! Peste Héloïse. Avec la bouche ? A la façon des femmes de petite vertu...
    
    — Je n’ai jamais ...
    ... trouvé d’homme à s’en plaindre ! sourit Alice.
    
    Paul, non plus, n’irait se plaindre, bien au contraire. Il se défroque et laisse son sexe s’étendre de tout son long. Son fruit violacé est gobé par la bouche gourmande de la jeune Alice. L’homme frémit d’extase.
    
    — Quel régal ! s’exclame-t-il.
    
    — La tarte aussi, rajoute Louis. C’est comme des chatouilles sur ma langue.
    
    Curieux, Paul précipite un morceau dans sa bouche qu’il m’astique avec véhémence.
    
    — En effet, c’est un ravissement pour les papilles. Je n’ai jamais rien mangé d’aussi bon ma douce Alice. Qu’avez-vous mis pour qu’elle soit si délicieuse ?
    
    — Un ingrédient secret, mon cher !
    
    — Mais quel est-il ? Dîtes-moi tout, je veux le savoir !
    
    — Si je vous le disais, ce ne serait plus un secret.
    
    — Dîtes ! Je vous jure que nous emporterons votre secret dans la tombe.
    
    Alice s’étrangle de rire et retourne pourlécher le gland soyeux de Paul. Héloïse commence à se sentir nauséeuse. Sa tête lui tourne et son ventre se tord de douleur. Une remontée gastrique la prend. Elle se précipite vers le lac et vomit.
    
    — Qu’y a-t-il mon trésor ? s’inquiète Paul.
    
    A regret, il abandonne la bouche soyeuse d’Alice et se précipite vers sa femme qui gémit de douleur. Louis le suit. Alice, sourire aux lèvres, se contente de piocher quelques fruits dans le panier.
    
    — Mais, c’est du sang ! est stupéfait Paul.
    
    Héloïse se tord dans tous les sens et finit par perdre connaissance. Les deux hommes, tentent en vain de la ranimer ...