Concours : Déjeuner sur l'herbe, par Nkari. (1)
Datte: 28/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Nkari, Source: Xstory
En ce bel après-midi d’été 1863, le soleil resplendit dans un ciel bleu. A l’ombre des arbres, deux couples profitent de la journée autour d’un déjeuner sur l’herbe déjà bien avancé, loin du chaos et de l’agitation des villes.
Deux hommes se font face, assis à leur aise dans l’herbe. Barbes brunes plus ou moins fournies, vêtements chics, les deux ont un air de famille. A la droite du premier, une jeune femme nue est peu attentive aux conversations des hommes. Plus loin, une autre jeune femme se rafraîchit dans une petite source d’eau.
— Alors, Louis, vous vous êtes rencontrés où ?
— Cela remonte aux neiges de cet hiver. La belle Alice m’ait apparu comme un ange envoyé des cieux...
Louis détaille cette rencontre miraculeuse tandis qu’Héloïse, la seconde femme, revient vers le trio et s’installe à côté de Louis. Elle commence à jouer avec la cravate de ce dernier.
— En tout cas, nous sommes ravis de vous rencontrer Alice, n’est-ce-pas chérie ?
— Évidemment Paul, répond Héloïse.
Alice est peu convaincue vu le regard hautain que lui porte cette dernière. Mais elle n’en a cure. Ses objectifs sont autres.
A côté, Héloïse, prise par un fougueux désir, s’attaque aux affaires de Louis. L’homme se laisse faire, ravi, sous l’œil attentif de Paul. Peu de temps après, voilà une Héloïse haletante, perchée sur le membre de Louis.
— Une vision qui donne faim, s’exclame Paul.
— Chère Alice, n’hésitez pas à vous occuper de mon mari avant qu’il ne nous fasse une ...
... crise de jalousie.
— Oui, avec plaisir, mais plus tard...
Paul n’insiste pas. C’est un homme de bonne famille. Un Craine comme lui saura se montrer patient. Il se contente pour le moment d’admirer le coït entre son frère et sa femme.
— Alors, cher frère, comment se portent vos affaires ? Lâche Louis entre deux soupirs de plaisir.
— Les temps sont durs. Se fournir en coton devient vraiment compliqué. Si seulement Lincoln pouvait lever son blocus, on pourrait au moins en faire importer d’Amérique. Je vais tout de même réduire mes frais en me débarrassant de main-d’œuvre.
— Êtes-vous vraiment obligé de licencier du personnel ? Interroge Alice.
— Si je ne veux plus être en déficit dans le textile, oui, mais sinon ce n’est pas vital. Avec mes autres industries, je suis encore loin de la faillite.
— Alors pourquoi licencier ces pauvres gens ? Ils vont se retrouver sans salaire en ces temps difficiles ?
— C’est une plaisanterie ? réagit Héloïse. Parce que je ne la trouve pas vraiment drôle.
— Chère Alice, s’étonne Paul, le but d’une entreprise est de gagner de l’argent...
— Mais que vont devenir vos employés ?
— Cela suffit femme ! s’emporte Louis. La gestion des affaires familiales ne vous regardent pas.
Alice n’insiste pas. Héloïse lui lance un regard mauvais et un petit sourire moqueur avant d’embrasser à pleine bouche son beau-frère. Elle ondule maintenant rapidement sur le sexe masculin. Leur coït arrive à son terme.
— Voulez-vous de ma ...