Le démon de midi, version féminine
Datte: 27/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... devinrent plus "sexy", ce qui n'alla pas sans susciter des commentaires sur son lieu de travail où elle exerçait la profession de comptable. Acerbes du côté féminin, grivois du côté masculin où le pantalon à rayures remportait un franc succès. Certains la qualifièrent même de "plus beau cul de l'entreprise", ce qui la faisait officiellement protester pour cause du sexisme mais la flattait officieusement. Mais pas question de nouer une relation adultère avec un collègue, telle était sa règle.
Dans la rue, elle se mit à regarder les hommes derrière ses lunettes noires, imaginant leur corps surtout quand ils n'étaient pas accompagnés. Certains le remarquèrent et tentèrent de la draguer mais elle opposait une attitude hautaine qui les décourageait. Ils devraient se contenter de mater sa superbe croupe en mouvement. Mais à la longue, son comportement lui parut inutile et vain. Elle agissait comme une allumeuse. Ce n'était plus de son âge. Il fallait réagir mais elle ne savait pas comment.
Les circonstances l'aidèrent. Un jour, Justine annonça à ses parents qu'elle passerait sa soirée en boite de nuit avec son "copain". Corinne osa lui demander de l'accompagner. "J'ai envie de danser", expliqua-t-elle. Surpris, le mari accepta parce que justement, ses "deux femmes " iraient ensemble s'éclater. Il était prêt à cette concession pour son épouse dont il voyait bien qu'elle s'ennuyait. Justine ne pouvait pas s'y opposer.
Corinne partit à la soirée vêtue de son pantalon ...
... fétiche sous lequel elle ne portait qu'un string et un léger chemisier à col ras du cou, sans manches et fendu dans le dos jusqu'aux reins, ce qui révélait l'absence de soutien-gorge. Elle chaussa des ballerines sur ses pieds nus afin d'être plus mobile et de ne pas paraitre trop grande. Le prof de philo fit le chauffeur, un rien étonné par la présence de la belle-mère, mais une fois dans la boite, Corinne délaissa le couple pour s'abandonner seule à la musique et à la danse. Elle vit un ou deux hommes lui tourner autour, en particulier un barbu un peu chauve, costaud et dépoitraillé, qu'elle ignora. Elle se trouva un moment aux côtés d'une femme de son âge, blonde peroxydée, cheveux fous, courte (sa tête arrivait à l'épaule de Corinne), boulotte mais bien proportionnée, vêtue d'une mini robe très décolletée. Ses gros seins tressautaient aux mouvements de la danse. Elle avait l'air de bien s'amuser et son voisinage rassura Corinne, qui se sentit moins seule dans cet environnement "djeune". Une sympathie commune ne tarda pas à se faire jour et les deux femmes se retrouvèrent au bar pour deviser devant un verre de whisky. Elle annonça son prénom : Manuella.
- Vous venez là souvent ? demanda Corinne.
- Tous les samedis en principe, répondit Manuella. J'ai un métier stressant, je suis secrétaire de rédaction dans un journal et j'ai besoin de me défouler. Je suis divorcée, je vis seule et je me débrouille pour rentrer accompagnée. Toi aussi je suppose (on se tutoie, hein ?)
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