1. Le démon de midi, version féminine


    Datte: 27/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    Les hommes ne sont pas les seuls atteints par le démon de midi, cette flambée sexuelle de l'entre deux âges. Les femmes aussi. L'histoire que je vais raconter évoque celle d'une femme tout juste âgée de 50 ans. Prénommée Corinne, c'est une fausse blonde à cheveux mi-longs, au corps élancé (1,76m), aux yeux émeraude et au corps harmonieux, prototype de la belle femme mûre. Mais elle n'en est pas moins arrivée à un âge où elle commence à douter d'elle-même et de sa séduction. Ce virage, elle l'a pris à la ménopause, phase naturelle et toujours un peu douloureuse pour une femme, jolie ou non, mais aussi quand elle a découvert que sa fille Justine, âgée de 18 ans, s'était mise à faire l'amour. Certes, elle l'avait préparée à cette échéance inéluctable (et désirable) en lui permettant la contraception "à titre préventif", avait-elle assuré. Mais quand elle avait compris qu'elle couchait avec son prof de philo de quinze ans plus âgé qu'elle, Corinne avait pris un petit coup de vieux. Elle l'aurait fait avec un gars de son âge, cela aurait été plus supportable. Mais un homme pas loin de son âge à elle, Corinne, voilà qui était déstabilisant. Une chanson trottait dans sa tête, de Georges Moustaki chantée par Serge Reggiani : "Votre fille a vingt ans, que le temps passe vite, madame hier encore, elle était si petite, et ses premiers tourments sont vos premières rides..."
    
    Des rides, elle en avait bien sûr, un peu sur le front et au coin des yeux mais avec un peu de ...
    ... "trompe-couillon", elles pouvaient s'estomper facilement. Ses seins généreux avaient tendance à s'affaisser mais les pointes et aréoles rebiquaient encore, comme un défi. Le haut de ses cuisses montrait un peu de gras mais comme elle avait les jambes longues, ça ne se voyait pas trop. Il y avait bien ce petit "bedou" au-dessus de la taille mais pas au point de ne plus pouvoir fermer ses pantalons. Sa fierté restait ses fesses, certes piquetées de cellulite (quelle femme n'en a pas ?) mais bombées, vénusiennes et fermes, si bien qu'elle pouvait se permettre de porter des pantalons moulants, en particulier des fuseaux en coton avec rayures sur le côté qui lui faisaient comme une seconde peau et que son mari trouvaient "indécents", ce qui ne la dissuadait pas de les porter, au contraire.
    
    Ce mari, elle l'aimait toujours comme un mari et n'envisageait pas sa vie loin de lui. Mais sexuellement, ce n'était plus vraiment ça. A part un accouplement rituel le dimanche matin (et encore, pas toujours), c'était calme dans le plumard conjugal. Le fait que Justine se soit mise à baiser alors qu'elle-même baisait de moins en moins la décida à reprendre sa vie en main. Pas question de vieillir prématurément comme certaines de ses collègues qui se transformaient peu à peu en matrones et considéraient la ménopause comme la fin d'une vie sexuelle. Elle se mit au roller, ce qui n'alla pas sans plaies et bosses mais lui valut quelques regards admiratifs de jeunes mâles impressionnés par son audace. Ses tenues ...
«1234...7»