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Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)
Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... de monter à l’intérieur, je repensai à mes 16 ans et elle avait été dans le vrai à l’évocation du fantasme féminin qu’elle représentait à mes yeux à cette époque. A ce sujet, un élément lui avait échappé en me parlant de mon imaginaire devenu réalité. Elle qui revendiquait notre relation à caractère incestueux et qui ne parvenait pas à faire abstraction de notre consanguinité, demeurait en bonne place dans mon esprit, à l’instar une sorte de Saint Graal tant convoité. En tournant la clef de contact, je préférais garder ce sentiment précieux pour moi. Nous nous étions abstenus de regarder la télé ce soir-là. Ainsi, nous étions montés directement à l’étage et ma grande blonde, une fois démaquillée était sortie de la salle de bains avec une nuisette blanc ivoire. Allongé sous les draps, je me préparais discrètement à l’observer se séparer de son vêtement. Je ne m’étais pas trompé, Véro la mine boudeuse, se retrouvait hantée par ses vieux démons et se montrait hésitante pour se dénuder. Avec apathie, elle s’empara des pans de sa chemise, puis leva les bras en les croisant. Quand sa nuisette lui passa par-dessus la tête, je restai médusé face à sa plastique époustouflante. Quitte à me répéter, mes sens ne s’habituaient pas à la vue de son corps nu et s’affolaient inutilement. Ma tante pouvait se narguer d’afficher des courbes insolentes au regard de son âge, laquelle me réprimanda au passage. — Minch’...à chaque fois que je me mets toute nue, on dirait que le monde va ...
... s’écrouler ! s’exclama-t-elle avec son air renfrogné. — Je te regarde, c’est tout. — Tu me regardes... dis plutôt que tu me dévisages, allez ouste, je vais me coucher, tu t’es assez rincé l’œil comme ça (elle saisit le drap pour s’allonger à mes côtés) on a bien discuté au resto... même si j’ai dit des conneries (elle se pencha sur moi et me donna une caresse sur la joue) je suis à cran pour demain et toi, tu es d’un calme, je suis admirative (je sentais la chaleur de sa peau contre mon torse)... euh je t’embrasse et ensuite, on fait dodo. M’annonça-t-elle en ouvrant sa bouche pour me rouler une pelle. — En voilà un joli baiser de ma petite Véro (trop heureuse de m’entendre l’appeler ainsi, elle haussa les épaules) quand je serai arrivé à Paris, je te tiendrai au courant avec des textos. Elle approuva ma proposition et me demanda de la couvrir de caresses. Elle s’endormit assez vite, contrairement à moi. Demain, je devais chercher mes cousins et mon fils. Cerise sur le gâteau, ma mère m’avait proposé de partager le déjeuner. Je m’étais préparé à affronter une leçon de morale ainsi que des sous-entendus de leur part. Qu’importe, l’essentiel me semblait ailleurs. Véro commençait à trouver le temps long depuis l’arrêt de sa pilule et dire qu’elle n’avait arrêté que depuis trois mois. Elle m’avait parlé de Patricia, en plein désarroi du fait de son divorce. L’accueillir chez nous ne m’emballait guère et ce qui me préoccupait le plus restait ce sentiment récurrent, à ...