1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)


    Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... charme fou (flattée, elle me lança encore un regard profond) tu me fais marrer avec ton âge, t’es toujours là à me balancer que t’as 44 balais et que tu t’estimes trop âgée, tu te rappelles qu’au début à Bordeaux, t’avais du mal à venir à la piscine en bikini ! Lui dis-je alors que nous terminions nos plats.
    
    — Roo... c’était au début et puis il y avait mes enfants (le serveur débarrassa nos assiettes puis nous apporta la carte pour un dessert) j’avais peur de m’exhiber en maillot deux pièces, franchement je ne pensais pas que tu oserais me draguer chez moi.
    
    — Et si je n’avais pas osé, qu’est-ce que tu aurais donc fait ? (elle s’interrogea quant à la suite de mes propos) tu serais restée passive ? lui demandai-je en créant un malaise palpable visible sur son visage.
    
    — Mais j’en sais rien moi !... Tu me vois en train de te faire des avances ? (Véro ayant choisi une glace se pencha vers moi pour me murmurer) je me souviens encore de la tête que t’as faite quand j’ai enlevé ma serviette, tu m’as tellement dévisagée que j’avais l’impression d’avoir oublié mon maillot ! à ce moment, j’ai réalisé que je te plaisais pour de bon et par la suite, il y a eu tes massages, ha ha. Me rétorqua-t-elle avec ses yeux malicieux.
    
    — Ah mes fameux massages californiens ! Au début, je te massais, mais après, je te caressais comme un malade et t’aimais ça ma belle, tu jouais l’indifférente sans rien me dire petite coquine. Lui soufflai-je.
    
    — Euh... oui un peu (elle prit une gorgée ...
    ... pour se donner une contenance), mais pour le second massage, tu m’as obligée à ôter mon slip et là j’étais gênée (elle prit une cuillerée en léchant sa glace) au fond de moi je me disais que j’étais complètement folle, parce que je te laissais me peloter les fesses, je ne protestais pas et je n’osais rien dire...(elle continua en raclant son bol, puis pensive, elle me sourit) que voulais-tu que je fasse ? Je ne vais pas te mentir, ça devenait de plus en plus agréable et après, est arrivé ce qui devait arriver, j’ai succombé à ton charme ! s’exclama-t-elle dans un haussement d’épaules.
    
    Nous bavardâmes ensuite de notre fils, Hugo, et chacun livra une anecdote le concernant. Le dîner touchant à sa fin, Véro ne refusa pas un décaféiné sans sucre et quand le serveur lui apporta, machinalement elle touilla sa tasse pour le refroidir selon ses dires. En le portant à ses lèvres, elle en but une petite gorgée et comme à son habitude, elle tripota sa serviette dans tous les sens. En remettant l’une de ses mèches derrière l’oreille, elle me parla sur le ton de la confidence.
    
    — N’oublie pas que demain, nous ne serons plus seuls et j’ai bien peur que mon naturel reprenne le dessus, je risque d’éprouver mes moments de gêne et je t’en ai parlé, enfin tu m’en as parlé cette nuit à quatre heures (embarrassée, elle me fuyait du regard) je culpabilise de partager ta vie, c’est pas nouveau, tu me connais. Admit-elle l’air penaud.
    
    — Mais c’est complètement con de dire ça ! tu culpabilises ...
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