1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)


    Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... commune, je ne parvenais pas m’habituer à sa présence en tant que compagne. A mes yeux, elle restait le symbole de la femme mûre et non pas une de ces gamines de vingt ans frivoles et sans intérêt à mes yeux. A l’époque de mon adolescence, elle était quasi inaccessible du fait de ses gamins, de son mari et surtout, elle était tout bonnement la sœur de ma mère, bref, elle se situait dans une zone hautement sécurisée pour tenter une action.
    
    En rassemblant l’ensemble de ces éléments, Véronique s’était mue au fil de ces années d’espoir en une sorte de fantasme absolu. Coucher ou l’idée de coucher avec elle relevait de l’interdit, mais aussi de l’impensable. A vrai dire, le sentiment de la savoir quasiment inaccessible en rajoutait une couche supplémentaire dans mon délire et au final, le fait d’être ma tante m’excitait au plus haut point dans nos rapports.
    
    — Oui Véro, déjà trois ans, le temps passe vite, mais tu me dis ça d’un ton, qu’est-ce qui t’arrive, tu as des remords ?
    
    — Bien sûr que non et si c’était à refaire, je le referais, tu peux me croire ! Quand t’as commencé à me draguer à Bordeaux, je me demandais où tu voulais en venir et au début, j’ai cru comme toi que ce ne serait qu’une passade (elle me fixa brièvement et poursuivit), mais ça a duré, j’ai découvert une nouvelle vie et tu vois très bien de quoi je parle (j’esquissai un sourire qui l’agaça fortement) tu peux rester sérieux ? Je suis en train de t’expliquer que je me considère très épanouie grâce à ...
    ... toi.
    
    — Et tu peux développer ?
    
    — Minch’... il te faut des détails en plus !... ah voilà nos pizzas (en découpant une part, elle enchaîna les confidences) Patrick, tu es bourré de charme, tu me fais rire sans arrêt, tu as un caractère en or et en plus... tu es imbattable au lit et si tu veux une preuve, c’est pas pour rien que je t’attendais pratiquement à poil tous les soirs (elle avala un morceau et s’essuya les lèvres) quand j’entendais le bruit de la serrure, je me disais, c’est lui (!)... ouh, j’avais le cœur qui s’emballait rien que de penser à la suite (elle s’interrompit pour prendre une gorgée de vin et reprit ses couverts) enfin, je savais que j’allais me retrouver dans tes bras et ensuite, je me suis habituée à t’attendre et je te concède que je me réjouissais par avance de ce que tu allais me faire !
    
    — C’est bien dit. Commentai-je.
    
    — Bien dit ou pas, reconnais que cette semaine, on a fait fort et c’est pas la peine de faire la moue... j’ai 44 ans, je suis ta tante et j’ai trois gosses, mais ça t’a pas empêché pas de me sauter dès que t’en avais envie et t’en as eu souvent envie (elle s’essuya à nouveau la bouche d’une manière sensuelle, avec un léger rictus aux lèvres), mais je ne m’en plains pas... resserre-moi un peu de vin s’il te plaît (en remplissant son verre, je scrutai son nez fin et ses yeux bleus) faut que je ralentisse, je vais être pompette à ce rythme, au fait, ta pizza est bonne ?
    
    — Oui, excellente, t’es ravissante avec ce pull, t’as un ...
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