1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)


    Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... de ses orteils ravissants) et ne viens pas me dire que j’exagère, j’adore parce que c’est toi (en les entraînant dans ma chaleur buccale, elle se mordilla les lèvres) et pour te rassurer, je ne le ferai pas quand les garçons seront là, c’est un peu notre petit secret. Lui soufflai-je.
    
    — Tu as l’art de retourner la situation pour que je dise amen à tous tes caprices (cette nana m’affolait de plus en plus décidément) minch’... je ne sais pas ce que j’ai de plus que les autres femmes, ou alors, c’est parce que t’as toujours rêvé de me sucer les pieds depuis que t’es ado ! M’affirma-t-elle en se rapprochant de la vérité.
    
    — J’en sais rien, mais ils sont foutrement beaux, harmonieux, ils m’attirent. Lui expliquai-je en les frottant contre ma joue.
    
    — Hé ben... j’aurai tout entendu (elle les dirigea près de mes lèvres) bon, si c’est notre secret, profites-en pendant que nous sommes seuls (elle tendit ses orteils, souhaitant ainsi me voir continuer) vas-y, je ne vais pas te gâcher ton petit plaisir, tu en meurs d’envie (je les pris en bouche en les maintenant par leurs chevilles) han... t’as une façon de me regarder, c’est pas croyable, ah là là si quelqu’un m’aurait dit un jour que mon neveu me sucerait les pieds...(tout en les gardant au chaud, j’opèrerai des pressions sur leurs voûtes plantaires) tu me détends et comme la dernière fois, je dois reconnaître que c’est une sensation assez spéciale. Admit-elle dans un soupir.
    
    Mon point de vue différait sensiblement du ...
    ... sien. Véro qualifiait cette sensation de spéciale, bien éloignée de mon ressenti. Les qualificatifs me manquaient dans l’instant présent. Ses enfants absents, je profitais de cette partie de l’anatomie de leur mère, laquelle venait d’éteindre le poste de télé. Par crainte de passer pour un demeuré, je cessai mon activité progressivement en me contentant d’effleurer le dessus de ses orteils, disposés sur mes cuisses. Ma grande blonde m’adressa un sourire, réalisant le plaisir, le mot étant faible, qu’elle me procurait en m’autorisant à m’occuper d’elle de cette manière.
    
    Véro se préparait à quitter sa place quand mon portable sonna. Sans tarder, je décrochai pour entendre la voix de ma mère et pour en faire profiter sa sœur, je mis le mode haut-parleur.
    
    — Bonsoir Patrick, je ne te dérange pas ? Il est près de 22 heures et je viens de coucher les garçons. Me dit-elle alors que ma blonde venait de se rallonger confortablement.
    
    — Bonsoir maman, non pas du tout, ils sont sages, ils ne te fatiguent pas trop ? lui demandai-je.
    
    — Penses-tu, ils sont adorables et très bien élevés (ma tante leva l’une de ses jambes à hauteur de ma poitrine) ils mangent comme des ogres et je leurs cuisine ce qu’ils aiment (je ne savais pas à quoi jouait Véro en s’amusant à me caresser la joue, à l’aide de son pied droit) ton père les a emmenés à la tour Eiffel, mais je doute que Hugo s’en souvienne !...(sa sœur poursuivit sa pseudo-excitation en tortillant ses orteils sous mon menton) et toi ?... ...
«12...242526...40»