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Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)
Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... sa tenue de ce soir n’avait rien d’anodin. Malgré son âge, Véronique affichait une ouverture d’esprit singulière, marquée par une attitude libertine, voire une certaine insouciance. Cette femme devenait au fil du temps sensationnelle, envahissant mes pensées du matin au soir. Il m’était quasiment impossible de lui reprocher ses moments de remords, exaspérants par instant, mais légitimes de par son statut. Nous avions 17 ans et quelques mois d’écart, mais je ne ressentais pas cette différence dans nos conversations. Il pouvait lui arriver de me materner, mais très vite elle avait besoin de mes conseils, de ma présence. Véro était en admiration devant moi et intérieurement, se savoir aimer et désirer par un jeune type beau et intelligent, lui redonnait cette fierté perdue au cours de ses dernières années. Il ne fallait pas oublier que son ex, Jacques, l’avait quittée pour une fille plus jeune et le fait de partager sa vie avec moi s’assimilait pour elle, à une sorte de revanche concernant son propre égo. Nous nous faisions face dans le salon. Véronique, avec son mètre 72 et son poids plume de 55 kilos était à proprement parler magnifique et son tee-shirt lui permettait d’exhiber ses jambes fuselées. On devinait sa paire de seins, libre comme l’air, ainsi que ses épaules graciles. De plus avec sa frimousse démaquillée, elle se montrait au naturel, mettant en valeur ses lèvres pulpeuses. Par habitude, elle prit place à l’extrémité du canapé avec un coussin derrière la ...
... tête. En allumant le téléviseur, j’optai pour la série américaine en sortant une cigarette. Par politesse, je lui fis signe afin de savoir si la fumée allait la déranger. D’un mouvement de la tête, elle m’indiqua que je pouvais fumer et plaça ses mollets sur mes cuisses. Avec ma main libre, je lui caressai l’une de ses chevilles en pressant sa voûte plantaire et de l’autre, je tirai une bouffée de fumée. La série ne nous intéressait guère avec un scénario minimaliste. Au bout de quelques minutes, j’éteignis mon clope et à l’instar d’hier, je saisis l’un de ses pieds pour le frotter contre ma joue. Pour ouvrir une petite parenthèse, je prenais un plaisir pas possible à ressentir cette peau lisse contre moi et en amenant ses orteils sous mon nez, Véro me mit en garde une nouvelle fois sur les semaines à venir. — Dis Patrick, tu ne feras pas ça avec les garçons et même s’ils sont en haut (sans accorder d’importance à sa recommandation, je les parsemai de baisers) ça te dérangerait de me répondre ? — T’en fais tout un monde, c’est pas comme si j’étais en train de te peloter les seins. Lui rétorquai-je en lui léchouillant le bout de ses ongles. — Ah bah merde ! tu confonds ma poitrine et mes pieds, ç’est pas la même chose (je les avais réunis à hauteur de ma bouche en scrutant leur vernis rouge vif) t’es un peu cinglé sur les bords, admets-le ! fulmina-t-elle en se redressant sur les coudes. — C’est toi qui me rends cinglé (aussitôt, ma langue lui lécha les dessus ...