Sonia, chienne en devenir (1) - Histoires de Sexe

Sonia, chienne en devenir (1)

... et le porte-jarretelles, je me trouvais super bandante, et ça m’excitait encore plus ! De moi-même, je remontais ma "jupe", me caressais les fesses et jouais avec mon string dans ma raie. Mon Maître se régalait du spectacle, ponctuant sa branlette par des "hummmmm", des "oui, c’est beau ça chérie", et des "vas-y, caresse-toi coquine". Quand je vis qu’il avait sorti sa queue de son pantalon et qu’il se branlait, un déclic se produisit dans ma tête. Je ne sais pas le décrire autrement, mais c’est comme si plus rien ne comptait que cette colonne de chair qui bandait pour moi, pour mon cul de salope. Dès lors, je n’avais plus que ce but : faire jouir cet inconnu. J’étais enfin la chienne, mon personnage de chat, une vraie salope bonne à vider des paires de couilles !

A y repenser, cette métamorphose est arrivée très vite, comme si cette position de chienne était latente depuis longtemps en moi. Les heures que j’ai passées à me branler, à faire des scénarios et des dials hard en jouant le rôle d’une salope avaient dû me préparer à tout ça, et la façon dont ce quarantenaire me traitait avait tout déclenché.

J’entamais une danse langoureuse, je tordais du cul pour allumer mon homme. Ma jupe était maintenant relevée sur mes hanches, je me caressais la raie, tirais sur le string pour le presser contre mon petit trou, me mettais des fessées. Mon Maître n’avait plus à me donner d’ordre, il se contentait de commenter, de m’encourager, et me traitait maintenant de salope, de petite ...

... pute et de bonne chienne.

Ses mots m’électrisaient, j’adorais avoir la reconnaissance de cet homme pour mon statut de salope, et j’aimais plus que tout le faire bander, l’exciter, et me conduire comme un jouet sexuel pour lui.

D’ailleurs, je l’encourageais aussi, je lui demandais d’une voix gémissante :

— Je suis une bonne salope ? Vous avez envie de défoncer mon petit cul de chienne ?

— Oui, j’ai envie de t’enculer petite chienne ! Hmmm putain t’as un bon cul, tu me fais bien bander ! T’as envie de ma queue, salope ?

— Ouiiiiiiiii Maître."

Le mot était sorti tout seul, et il m’emporta avec lui, un peu plus loin dans la nymphomanie et la soumission.

— Doigte-toi !

Le ton était dur, c’était un ordre d’un dominateur pour sa chienne soumise. J’ai adoré! Docilement, j’écartai mon string, me mis un doigt dans la bouche et le suçai.

Toujours appuyée au mur d’une main, je rapprochai mon doigt enduit de bave de mon petit trou. Je l’enfonçai avec douceur, mais il rentrait difficilement. N’en étant pas à mon premier doigt dans le cul, je ramenai ma main à ma bouche et me crachai sur les doigts, pour bien enduire ma pastille de bave. Après avoir joué un peu avec, j’enfonçai cette fois un doigt très facilement, puis deux, et commençai un lent mouvement de va-et-vient. Une agréable chaleur semblait se diffuser autour de mon petit trou.

— Hmm voilà, c’est bien salope, doigte-toi bien le cul ! T’aimes ça hein, c’est pas ta première fois petite pute ?

— Non ...