Sonia, chienne en devenir (1)
Datte: 26/06/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: Sonia_TV, Source: Xstory
... je découvrirais de nouveaux plaisirs très bientôt. C’était comme si j’avais toujours attendu ça sans le réaliser. Oui, dans mon esprit, c’était : "ENFIN, je vais m’éclater à être une chienne, au lieu de faire semblant !"
Quand j’activai enfin la cam, j’étais vêtue d’un paréo de plage, à mi-cuisse, d’un top assorti léger et échancré, d’une culotte en dentelle, qui, mise devant derrière et ajustée, me faisait comme un string. J’avais déniché une paire d’escarpins avec des lanières croisées sur le mollet qui n’étaient qu’un peu trop petites pour moi. Mon maquillage n’était pas si catastrophique que ça pour une première fois, dans mes souvenirs.
Me remémorant les gestes que j’avais vu ma mère faire des centaines de fois, je m’étais appliqué avec beaucoup de soin du fond de teint, du mascara, de l’eye-liner et du fard à paupières violet ainsi que du rouge à lèvres. Je découvrais qu’agir comme une femme, en mimer les postures et mimiques m’excitait au plus haut point ! J’avais poussé l’expérience jusqu’à passer un ras-de-cou serti d’une petite pierre et des bracelets en toc. Il faut dire que ma mère est très coquette, et que je n’avais que l’embarras du choix. Je portais à cette époque les cheveux mi-longs, que j’avais essayé de coiffer de manière féminine. J’étais d’ailleurs assez déçue du résultat pour ce point, mais le maquillage était plutôt réussi et je me trouvais "mignonne" et aguicheuse.
Mes efforts furent largement récompensés par la réaction de mon nouveau ...
... partenaire, quand il m’assura que sa patience l’était tout autant ! Il s’extasia littéralement devant mon image, me couvrit de compliments qui me firent tellement plaisir que j’abandonnai vite la raideur et la réserve que la peur d’être ridicule m’imposait encore. Mon maître me demanda de tourner sur moi-même, de prendre diverses positions langoureuses pour apprécier ma tenue sous tous les angles. Il me fit faire des smacks en gros plan à la caméra, et je papillonnais de mes cils allongés, comme une midinette, fière de ses éloges sur mon maquillage.
Le seul bémol était mes jambes, qui selon lui seraient bien mieux mises en valeur par des bas. Je lui répondis que ma mère n’avait que des collants, et que je n’avais pas envie d’en mettre. J’étais déjà fétichiste des bas, et trouvais les collants très moches, même sur les jolies jambes de mes ex-copines. Sous ses directives, je suis allée prendre un collant dans le tiroir de la commode maternelle (elle en avait des tonnes !), et j’ai pratiqué des incisions au ciseau au niveau des cuisses. Une fois enfilé, au grand plaisir de mon Maître, je crus défaillir quand je vis à l’écran l’image de mes jambes gainées, dont les restes de collants et la ceinture faisaient comme un porte-jarretelles. Je me tournais, m’appuyais au mur des deux mains, me cambrais et me tordais le cou pour voir sur la cam l’effet produit.
Quel cul ! Les jambes écartées, ma croupe imberbe à la cambrure naturelle exacerbée par les talons et soulignée par le string ...