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Angie, la superhormone sexuelle (3)
Datte: 26/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Docmature, Source: Xstory
... à la tentation de franchir ce tabou ultime, mais là, mon désir est trop fort. Et puis, après ce qu’il vient de m’avouer, autant être directe, de toute façon, j’en meurs d’envie. Je m’approche encore un peu plus de Fabrice, jusqu’à le coller et je lui prends la queue d’une main. — Mon bébé, je vais m’occuper de toi, ta maman va prendre soin de toi, tu vas voir. Laisse-toi aller. Je me mets alors à genoux et, tout en prenant son sexe en bouche, une de mes mains débute des va-et-vient à la base de sa magnifique tige. — Oui maman, c’est si bon, continue, suce ma queue comme tu le fais. Depuis le temps que j’attendais de découvrir ce plaisir. Ma langue s’attarde sur son gland rouge de désir, en fait le tour, lèche son méat et s’attarde sur le frein. Puis je le reprends en bouche, l’enfonçant au plus profond de ma gorge avant de me retirer, laissant ma salive dégouliner. Parfois, je me baisse légèrement afin de pouvoir lécher ses bourses. Ce jeu dure plusieurs minutes. Une de mes mains est dans mon entrejambe, je me caresse, mon jus intime coule en abondance. Je suis tout à mon plaisir, un plaisir plus fort qu’avec mes amants habituels. Mais je sens que mon fils arrive au point de non-retour. — Ouiiii, je viensss, ouiii, ouiiii. Fabrice explose et déverse une quantité monstrueuse de sperme dans ma bouche. Sa queue ressort couverte du liquide visqueux, une partie dégouline au sol. Mais j’en avale aussi, en regardant mon fils dans les yeux, un sourire aux ...
... lèvres. — Tu as aimé ? — Oh que oui, c’était un moment merveilleux. Je comprends pourquoi tous les hommes aiment être sucés. Merci de m’avoir permis ce plaisir, tu es la meilleure des profs, ma petite maman, je t’aime. De l’entendre me rappeler que je suis sa mère me met à la fois mal à l’aise et m’excite, mon côté femme perverse, amplifié par Angie probablement. — Maintenant, tu vas me prendre. Je veux être ta première femme et que ton premier plaisir soit avec moi. Je me tourne et me penche, les mains appuyées sur une paroi de la douche, offrant mes ouvertures sans honte à la vue de mon fils. Je sens sa queue qui cherche un peu l’entrée de mon vagin, déjà en fusion par le désir. D’une main, je le guide, il n’a aucun mal à me pénétrer et, d’une seule poussée, il entre jusqu’à la garde son sexe. Il marque un temps d’arrêt, peut-être un moment d’hésitation de sa part. Alors je l’encourage, je n’ai plus aucune retenue, je veux que mon fils me baise et je veux lui laisser un souvenir ineffaçable de ce premier rapport. — Vas-y Fabrice, baise-moi, j’en meurs d’envie, ne sens-tu pas comme mon gouffre est mouillé, prêt à accueillir ta magnifique verge. Prends ta maman, prends-moi, je t’en prie ! Il n’en faut pas plus à mon fils pour se mettre aussitôt en action. Il me saisit par les hanches et débute de violents coups de reins. — Ouiii, ouiii, continue, mais parfois ralentis un peu, et reprends, c’est encore mieux. Je n’ai pas besoin de me toucher, rien que ce tabou ...