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Angie, la superhormone sexuelle (3)
Datte: 26/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Docmature, Source: Xstory
Je m’appelle Anne, la belle-sœur de Laurent qui a dérobé, à un ami chercheur, une petite quantité d’Angie, une superhormone permettant d’accroître le désir sexuel. Et la substance miracle marche, comme ma grande sœur Sylvie puis moi-même avons pu le constater. Je me réveille en pleine nuit. La chambre est dans le noir, seule la faible lumière d’un réveil électronique, indiquant 3 h 15, est visible. Sylvie et Laurent sont allongés à mes côtés et dorment paisiblement. Je repense à ce qui vient de se passer et je ne regrette rien. Faire l’amour avec ma sœur puis avec mon beau-frère a été un merveilleux moment de plaisir. La langue de Sylvie sur mon clito tout excité et la verge de Laurent qui m’a défoncée pendant de longues minutes m’ont procuré deux fabuleux orgasmes. Bien que je sois libertine et échangiste, et qu’il n’est pas si rare que je baise avec des femmes ou d’autres hommes que mon mari, ce moment a été d’une saveur toute particulière. Sans doute le fait qu’au plus profond de ma conscience, j’attendais de pouvoir faire l’amour avec Sylvie et cet inceste, si longtemps refoulé, a très certainement amplifié le plaisir obtenu dans ses bras. Des images me traversent l’esprit, je sens mon sexe devenir humide et une de mes mains descend à son contact. Avec un doigt replié, je commence une douce caresse, je joue avec mes lèvres intimes, je le rentre légèrement à l’intérieur de mon vagin pour des va-et-vient. Mon autre main glisse sur un sein pour délicatement en ...
... caresser l’aréole avant d’effleurer le mamelon, si sensible au moindre toucher qu’il durcit aussitôt. Je sens le plaisir monter doucement. Mon esprit est traversé par de multiples pensées avant qu’une image en prenne toute la place, celle de Fabrice, mon fils de 18 ans. Oui, lui et sa sœur Valériane, sa jumelle, n’ont que 17 ans de moins que moi, un oubli de pilule malencontreux. Heureusement pour moi, le partenaire qui me faisait alors l’amour ne m’a jamais abandonnée et vit depuis à mes côtés. Fabrice, toi que j’ai mis au monde, que j’ai bercé quand tu pleurais, que j’ai consolé lors de tes chagrins, que j’ai écouté, que j’ai conseillé, tu es devenu un homme maintenant. Et malgré mes efforts pour l’oublier, me revient sans cesse cette image de toi, nu dans la douche te faisant du bien. Je ne devais pas être là, tu avais laissé la porte ouverte et je t’ai vu. Je n’ai rien dit, t’observant d’abord comme une mère puis, et je ne sais pas pourquoi, comme une femme. Tu es devenu si beau mon fils, avec des pectoraux et des abdominaux dignes d’un athlète, des fesses, si mignonnes quand tu étais bébé et sur lesquelles j’aimais déposer des bisous, maintenant si musclées et des jambes parfaites. Mais ce jour-là, la femme que je suis n’a pas pu détacher ses yeux de ton sexe, énorme avec ce gland si magnifique, ton sexe raide par le plaisir et les mouvements de ton poignet, ton sexe que je n’avais pas vu depuis si longtemps. Et en te regardant, je n’ai pu empêcher ni le désir de ...