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Angie, la superhormone sexuelle (3)
Datte: 26/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Docmature, Source: Xstory
... monter en moi, ni ma main de caresser mon sexe ni de mouiller devant la vision de cet homme nu se donnant du plaisir. Mais cet homme, c’était toi Fabrice, et c’est en te regardant très discrètement, comme une jouvencelle, que moi aussi j’ai atteint l’extase. Seule la morsure de mon bras a alors couvert mes gémissements de bonheur. Depuis ce jour, cette vision de toi s’impose régulièrement à mon esprit, comme cette nuit, mais pour une fois, je ne cherche pas à lutter, à chasser cette image, bien au contraire, je la veux. Ma main quitte l’entrée de ma grotte intime pour remonter un peu plus haut au niveau de mon bouton d’amour. Mon index, mouillé de cyprine, tourne autour avant de débuter le jeu qui me mènera, je le sais, à l’orgasme. Les lents tapotements de mon clitoris deviennent plus rapides avant de ralentir de nouveau et ainsi de suite pendant de longues minutes. De ma main libre, je pince et je tire sur mes tétons. Et à chaque fois que je m’approche au plus près de la jouissance, je relâche la pression pour de nouveau recommencer. Le plaisir monte en moi comme une vague que rien ne peut plus arrêter, les pressions que j’exerce sur mon clitoris sont devenues plus franches, je me mords la lèvre afin de ne pas crier et réveiller Sylvie et Laurent, ma respiration s’accélère. Soudain, mon corps se contracte, je retiens un cri et un orgasme fulgurant me déchire. Laurent bouge un peu, sûrement que malgré mes précautions, je l’ai en partie réveillé, mais il semble se ...
... rendormir aussitôt. La nuit peut continuer, je sais que mes rêves vont être doux, je tombe dans le sommeil. La chambre est maintenant éclairée par la lumière du jour, un rapide coup d’œil au réveil indique 7 h 30. Je regarde mon portable, un SMS de Christophe m’informe qu’il ne pourra pas être de retour avant le déjeuner, la banale fuite d’eau ayant causé de gros dégâts dans une salle d’ordinateurs. J’entends des voix dans la salle à manger, sûrement les enfants qui sont rentrés de deux jours chez des amis. Je me lève sans faire de bruit, j’enfile un peignoir et je sors rejoindre les jeunes. — Bonjour tous les quatre, alors ces deux jours, c’était bien ? — Cool cool, me dit Fabrice en se levant de sa chaise pour venir m’embrasser. Et toi, tu es plus belle de jour en jour, ma petite maman adorée. Je ne sais pas si je fabule, mais ses bisous sur mes joues me semblent particulièrement appuyés et bien trop près de mes lèvres. Et puis, pourquoi a-t-il passé sa main dans le bas de mon dos ? Bon, je ne dois pas encore être bien réveillée et mon esprit me joue des tours. C’est ensuite Valériane puis Clothilde et Raphaël, leurs cousins, qui viennent m’embrasser. — Vous devez être fatigués, mes pauvres chéris. Avez-vous mangé ce matin ? — Maman, s’il te plaît, on n’a pas dormi de la nuit, on veut seulement un lit, me répond Valériane. — D’accord, allez-vous coucher, on vous réveillera pour le déjeuner. — Oui c’est ça, très bonne idée, bisous maman. — Bisous, ...