Bonjour Philippe - Histoires de Sexe

Bonjour Philippe

... mains partout sur le corps offert de ma femme. Assis dans mon fauteuil, je constate une certaine harmonie entre ces deux amants d’un soir.

Entre deux caresses, ma femme murmure :

— Il serait peut-être temps de prendre vos précautions…
— C’est inutile, Caroline. Je suis clean, j’ai fait un test, il y a peu de temps, et je me suis réservé pour vous.
— Vous vous êtes réservé pour moi ? En quel honneur ?
— Parce que vous le valez bien !

Je constate de cette réponse amuse beaucoup ma femme. Elle se détend encore plus, se laissant glisser dans la volupté. Philippe continue d’embrasser et de caresser le corps offert, visage, cou, poitrine, pubis, cuisses, fesses… Partout, longuement, passionnément, amoureusement…

Depuis quelques instants, ma femme tortille du bassin, serrant et desserrant ses cuisses, un signe que je connais très bien : elle a visiblement le feu à la chatte, et elle aime l’éteindre à sa façon. Échappant momentanément à l’étreinte de son amant, Caro désigne le rebord du canapé :

— Vous pouvez vous asseoir sur le bord du canapé ?
— Sur le bord ? Comme ceci ?
— Oui, comme ceci, merci

Ses fesses posées au bord du canapé, Philippe est en bonne position, sa verge bien raide. Ma femme s’approche lascivement de lui, puis arrivée face à lui, elle s’agenouille sur les coussins, de part et d’autre des cuisses de notre invité du soir. Aussitôt, Philippe saisit les hanches dénudées de ma femme, juste en dessus du corset, laissant échapper un cri du cœur ...

... :

— Ah, depuis le temps que j’en rêve !
— J’ai cru deviner…

Caro se penche un peu sur le côté, glissant sa main manucurée derrière elle. Puis elle saisit la verge raide et déjà palpitante, la dirigeant sans hésitation vers l’entrée bordée de ses lèvres toutes lisses, nichées entre ses cuisses.

Ses mains toujours rivées sur les hanches de ma femme, Philippe retient sa respiration, moi aussi.

Caro remue du popotin, sans doute pour mieux se placer. Il est étrange de contempler une queue qui n’est pas la sienne et qui va bientôt s’enfoncer dans des profondeurs qui me sont habituellement réservées ! De son côté, Philippe semble figé.

Soudain, ma femme se laisse choir sur le pieu de chair, l’engouffrant presque jusqu’au fond, tout en poussant un long soupir de soulagement et d’aise :

— Aaah que c’est booon !

Philippe l’accompagne dans un long souffle. Le couple reste immobile, statufié, profitant du moment. Puis lentement, ses mains toujours rivées sur ses amples hanches, Philippe commence à bouger, coulissant en elle. Caro l’accompagne sans réserve :

— Oooh oui !

À présent, notre invité la pistonne joyeusement, le corps de ma femme tressaille sous les coups de boutoir, ses chairs frémissent, oscillent, gélatineuses. Devant ce spectacle lascif et impudique, je bande comme un âne ! Caro s’envole dans une longue litanie :

— Oh oui ! Oooh oui ! Oh oui ! Oh ouiii !

Toujours en mode cavalcade, Philippe fait littéralement sauter ma femme sur ses cuisses, ...