1. Une famille sexuellement débridée (12)


    Datte: 25/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... une journée sans baise est une journée perdue pour lui et la veuve poignet n’est qu’un pis-aller auquel on a recours dans les chiottes du bureau ou celles de l’autoroute quand on a une urgence.
    
    Lors d’une de ces circonstances, nous nous retrouvâmes seuls entre hommes à la maison. Maman avait dû être hospitalisée quelques jours pour une affaire sans importance, Patou était en stage comme Chloé.
    
    Pendant ces cinq jours, je fus le vide-couilles de mon père et de mon frère. Si une seule des femmes avait été présente, elle y serait passée à ma place et sans doute davantage.
    
    Il va de soi que mon père et mon frère tiraient un coup chaque fois qu’ils le pouvaient. Pour papa, cela commençait avec la gaule du matin. Avant que nous soyons introduits et initiés à leurs délires sexuels, il était silencieux pour ne pas nous réveiller et ma mère se contentait de le sucer ou de lui faire une branlette espagnole, à moins qu’il ne se purgeât les burnes tout seul dans le lavabo de la salle de bains s’il était trop à la bourre. Ainsi les cris d’orgasmes de maman ne nous réveillaient pas. Il respectait notre sommeil de la sorte pendant les week-ends et les vacances. Et le soir, c’était grosse baise, bien sonore cette fois.
    
    Mais depuis que nous pratiquions l’inceste, les habitudes avaient changé et les matins de semaine étaient souvent animés le bruit du sexe ...
    ... précédant souvent celui du réveil. Gilles ayant du mal à se sortir du lit disposait de moins de temps et se contentait souvent d’une branlette vite fait pendant le petit-déjeuner. Il se rattrapait le soir en tirant un coup dès qu’il rentrait avant de baiser à nouveau quelques heures plus tard avant d’aller se coucher.
    
    Ce matin-là, donc, je fus réveillé par la bite de mon père sur mon anus. Il m’enculait de plus en plus souvent ou se faisait sucer, comme Gillou, rien de plus. Ma bouche et mon cul, seuls mes trous les intéressaient. Ni caresses, ni bisous, mes vases éjaculatoires étaient les objets uniques de leur convoitise.
    
    Le reste de cette semaine là, j’eus donc droit à la queue de papa tous les matins et mon frère deux fois. Par contre dès qu’ils rentraient du boulot, j’en reprenais un coup et encore après. Forniquer trois fois par jour ne constitue un exploit ni pour l’un ni pour l’autre. Par contre, s’ils m’ont souvent baisée de conserve, ils m’ont très rarement prise en double, préférant cette configuration en mode hétéro.
    
    Cela dit, après ces quelques jours, mon père avait définitivement pris goût à la chose, et il n’y eut plus de baise familiale sans qu’il vînt me foutre au moins une fois, réservant toujours cependant ses plus grandes faveurs et l’essentiel de ses assauts aux culs des dames.
    
    La vie reprit ensuite son cours, à six...
    
    A suivre. 
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