1. Une famille sexuellement débridée (12)


    Datte: 25/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Depuis que nous baisions en famille, la maison était devenue un vrai temple du stupre. Maman ne se cachait même plus. Elle avait une foule d’habitués qui venaient tirer leur coup avec le consentement paternel, qu’il fût absent ou présent. Le facteur, les éboueurs, toujours le même pompier pour le calendrier, quelques agriculteurs du coin, des collègues de papa, des VRP de passage... pas mal de monde en fait. Et tout cela, sans jamais choper une merde. L’hygiène est un critère absolu de sélections. On s’encule le cul propre et les couilles saines.
    
    Il ne se passait pas une semaine sans que je surprisse ma mère avec un homme seul ou sous le chaperonna de mon père. On niquait n’importe où. Dans la cuisine, le salon, la chambre, partout, pas encore dans le baisodrome dont les travaux patinaient. On ne peut pas consacrer son temps de loisir au sexe et au bricolage en même temps, du moins c’est compliqué et peu efficace.
    
    Baptiste, Rhadan et Gabin, les potes de mon frère, se montraient assidus, surtout depuis qu’on avait bien compris qu’il y avait trois putes à tirer. Rhadan, au demeurant ne cachait plus sa préférence, c’est-à-dire mon trou du cul. S’il fréquentait encore les femmes, c’était juste pour s’en faire sucer.
    
    Il avait changé d’attitude et pratiquait la muscu. Il savait que j’avais un faible pour les pénis rasés et les couilles épilées, mais que j’aimais le poil au pubis et il l’entretenait. Je crois qu’il était amoureux de moi, mais même si j’appréciais ses ...
    ... coups de queue, je ne lui rendais pas ses sentiments.
    
    Gillou était devenu addict au cul. Il se baladait de plus en plus souvent à poil pour exhiber son gros sexe, en érection ou pas, attendant toujours que les femmes se jettent dessus ou m’attrapant par les hanches pour me pénétrer. Cela nous valait quelques frictions, car je ne me laissais pas toujours faire.
    
    Nous étions toujours avides de nous renouveler et d’accueillir des nouveaux venus.
    
    A ce jeu, Gillou était aussi, et logiquement, le plus engagé.
    
    Il revint un jour avec sa nouvelle copine, Chloé.
    
    C’était une nana pas très grande, brune aux cheveux longs, assez forte, avec un gros cul et d’énormes nichons. Placés derrière elle en nous la présentant, mon frère fit des gestes non équivoques, plaçant ses mains ouvertes devant lui comme s’il la tenait par la croupe avec un mouvement du basin d’avant en arrière, puis la main fermée sur une invisible bite gonflant sa joue au rythme d’un va-et-vient très explicite.
    
    Elle fut accueillie pour le dîner. Puis nous gagnâmes le salon pour regarder un truc à la télé. Il ne restait, outre ce couple, que mon père et moi, les femmes s’étant retirées, je ne sais pas pourquoi.
    
    Il ne fallut pas grand temps avant que Gilles se mit à peloter la fille. Elle se défendait mollement et sottement, plus pour faire croire qu’elle n’était pas une fille facile que par réelle volonté d’opposition, n’empêchant pas les mains du frangin de rentrer sous la jupe et dans le corsage. Elle lui ...
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