Les pieds (mais pas que) de ma chef (4) - Histoires de Sexe

Les pieds (mais pas que) de ma chef (4)

... précieux nectar. Son pipi est long, j’en laisse couler de ma bouche une quantité que je ne sais pas avaler. Une fois son pipi terminé, elle plaque ma tête contre son minou et me force à la nettoyer comme elle l’a fait avec ma queue, ce que je fais sans broncher. À ce moment-là, tout me parait irréel, quand je repense à comment cela a commencé et l’instant présent, je me dis que je suis en train de vivre ma meilleure vie. Finalement, nous prenons quand même le temps de nous laver mutuellement.

Sentir nos mains dessiner chaque courbe de nos corps et s’attarder sur les zones plus sensibles. Je m’attarde un peu sur ses seins, ses hanches, ses fesses et bien sûr sa petite chatte, mais surtout sur ses pieds. Je prends soin de nettoyer chaque centimètre de ses petits petons en glissant mes doigts entre ses orteils. Elle prend du plaisir et elle me le confirme :

— J’aime comme tu t’occupes de mes pieds, c’est très agréable.

J’aime ce qu’elle me dit, sa voix est douce et tremblante à cause de son excitation. Puis vient son tour de me laver, elle caresse mon corps, mon torse et mon dos. Ensuite, elle descend un peu plus et glisse ses mains sur mes fesses pour finalement attraper mes couilles. Elle s’amuse à les soupeser et les faire glisser entre ses doigts. De son autre main, elle attrape ma queue et entame un léger mouvement de va-et-vient. J’adore et je l’embrasse pendant que je savoure cet instant. Elle quitte mon sexe et termine de laver mes jambes. Nous nous rinçons ...

... et nous quittons la salle de bain pour rejoindre le salon.

Je lui demande :

— Tu veux rester dormir ?

— Je ne sais pas, je n’ai pas envie de m’imposer.

— Si je te le propose, c’est que ça ne me dérange pas.

— Alors oui, j’aimerais beaucoup terminer cette nuit avec toi.

Je lui souris et lui fais un petit bisou sur la joue.

— Tu veux boire quelque chose ? Vin, rhum, whisky ?

— Un verre de rhum je veux bien, merci.

Je sors deux verres et y verse une quantité raisonnable de rhum jamaïcain. Nous rejoignons le fauteuil face à la fenêtre et trinquons à notre rencontre. Nous profitons de ce moment pour en apprendre un peu plus sur nos vies respectives. C’est elle qui commence :

— Comment as-tu pu te payer un appartement aussi grand et beau ?

— Mes parents achètent et revendent des biens immobiliers, celui-ci en fait partie et lorsque j’ai terminé mes études, ils me l’ont offert.

— Tu as de la chance !

— Oui, c’est vrai, mais d’un autre côté, ils ont toujours tenu à ce que je réussisse dans la vie, jamais ils ne m’auraient offert ce confort de vie si je n’avais pas suivi d’études ou du moins leur avais prouvé que je n’allais pas rester sans rien faire toute ma vie.

— C’est une belle philosophie. Comment se fait-il qu’un beau jeune homme comme toi, avec toutes ces belles choses reste célibataire ?

— Bonne question. A vrai dire, je suis assez difficile et exigeant dans mes relations. Je donne énormément de ma personne et j’attends à recevoir ...