Les pieds (mais pas que) de ma chef (4)
Datte: 25/06/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Aadam1928, Source: Xstory
Le plaisir et la satisfaction d’avoir un contrôle absolu de la situation sont indescriptibles. Mon verre de whisky à la main, une soumise sexy à genoux face à moi et une vue imprenable sur une ville illuminée. Je compte bien savourer ce moment, la soirée peut enfin commencer :
— Caresse ma queue !
Elle s’exécute et commence doucement à caresser ma bite tendue à travers mon pantalon. J’aime son toucher et sa délicatesse, mais j’ai très vite envie de plus. Je me lève et lui ordonne :
— Enlève mon pantalon et fais glisser mon caleçon avec tes dents.
— Oui Maître.
Elle est douée, car en quelques secondes à peine, ma bite est libérée de toute emprise et est maintenant tendue face à elle. Le bandeau sur ses yeux l’empêche de me voir, mais je sens son souffle chaud sur ma bite. Je reprends place dans mon fauteuil et lui demande de basculer en arrière et de me branler avec ses pieds. J’attends ce moment depuis tellement longtemps. Elle prend la position adéquate et pose enfin ses magnifiques pieds sur ma queue. Pendant que son pied droit monte et descend sur ma hampe, son pied gauche caresse mes couilles. La sensation est vraiment jouissive, ses pieds sont tellement doux et ses mouvements tellement délicats et contrôlés. Sans jeu de mots, je prends vraiment mon pied. Après un petit moment de ce traitement, je prends en main l’un de ses pieds et le porte à mon visage. Son odeur est subtile, légère et imprégnée de celle de ma bite, j’adore. Je commence à lécher sa ...
... plante de pied et remonte jusqu’à ses orteils.
Le goût est sensiblement salé dû à la transpiration. Je lèche ses orteils et les prends en bouche. Cela doit lui plaire, car elle émet de petits gémissements qui accentuent mon excitation. Je lâche son pied et lui ordonne de se remettre à genoux. Je m’approche d’elle et lui enlève son bandeau. Nous échangeons un regard plein de passion et d’envie. Ses yeux verts sont hypnotisants et ses lèvres appellent les baisers. Nous nous embrassons avec fougue, nos langues se mélangent dans une synchronisation digne d’un balai de danse. Je la repousse, me redresse et lui enfonce ma bite dans la bouche. Elle n’arrive pas à la prendre entièrement et est prise d’un haut-le-cœur. Je lui fais remarquer :
— Maintenant que tu es ma soumise, il va falloir apprendre à ne plus avoir ce mauvais réflexe. Je ne veux plus voir un centimètre de ma bite dépasser de ta bouche. Compris ?
— Oui Maître, je vais essayer.
— Je ne veux pas que tu essaies, je veux que tu le fasses.
Sur ces mots, je lui enfonce à nouveau ma bite profondément, cette fois-ci j’arrive à aller plus loin, mais elle est de nouveau prise d’un haut-le-cœur. Je décide de changer de méthode, je la soulève et nous prenons la direction de ma chambre.
— Allonge-toi sur le lit, la tête qui dépasse.
— À vos ordres Maître.
Elle se met en position, je sais que grâce à l’angle formé par sa gorge et sa bouche, ma bite ne devrait plus sentir de résistance. Je m’avance donc et pointe ...