Dérapages. 06
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... profite du corps de notre victime, sachant qu'avec les pilules sexe-dur ce n'est qu'un début. On en a pas pris encore, mais qu'en ce sera fait, la pute rouquine ne sera plus qu'un objet sexuel pour nous, servant uniquement de dévidoir à notre semence. Ce qu'elle est déjà au fond.
Pour sa première pipe, je décide de jouir à fond dans sa gorge. Il est important qu'elle avale mon sperme. J'aurais tellement d'autres occasions de jouir sur son visage ou dans sa bouche. Enfin moi ou d'autres. Quand je sens mon plaisir venir, je me cale bien à fond dans l'orifice, appuyant sur l'arrière du crane de ma belle pour être certain d'être au maximum. Je me vide en criant, jouissant directement dans l'œsophage de la pute, déversant cinq jets puissant de sperme. Quand je me retire, je remet la boule rouge de son bâillon, pour être sûr qu'elle ne recrache rien. Je vais boire un verre dans la cuisine, tandis que Paul continue à s'activer dans le vagin de Anne. J'en profite pour avaler une pilule sexe-dur. Je retourne dans le salon. Paul est en train d'inonder l'intérieur de la rousse de sa semence. Une fois bien vidé, il se retire et va lui aussi se faire sucer. Comme moi, il enlève la boule de son bâillon et s'enfonce dans sa bouche. Avec la qualité du spectacle, allié à la pilule que j'ai pris, je ne tarde pas à rebander. Mes putes tiennent toujours la rousse, qui ne se débat plus. Du moins pour l'instant, la suite risque d'être différente. J'attends que Paul finisse tout en me branlant. ...
... Lui, contrairement à moi, éjacule sur le visage de la rousse. Son sperme se mélangeant aux larmes de sa victime. Une fois fini il se retourne vers moi.
- Je lui remet le bâillon?
- Non, pas cette fois, j'ai envie d'entendre un peu sa voix.
Complètement dévastée, sanglotante, je ne sais pas si Anne entends notre petite conversation. Le corps de notre victime est couvert de transpiration, ses cheveux colle à son front, ses tempes. Le viol est très dur à vivre pour une femme, mais encore plus pour une lesbienne, totalement vierge de surcroît, avant notre passage.
Je me lève, la bite droite comme un mât, il est temps de dépuceler le dernier orifice de la jeunette. J'en salive d'avance. Anne gémit, quand je la saisit de nouveau aux hanches, comprenant qu'elle va subir un nouveau viol. Mes trois chiennes la tienne toujours, elles le feront tant que je ne leur dirais pas de la lâcher. Je frotte mon gland contre la chatte défoncée de Anne, j'y mets un peu de sperme dessus, pour la lubrification. Pas pour un quelconque souci pour la pute, juste pour facilité l'intromission de mon engin. Je vais enculer cette conne, je veux lui détruire le cul, le casser pour de vrai. Anne s'attend à une nouvelle visite de son antre d'amour. Elle ne comprend pas immédiatement quand mon braquemart s'infiltre entre ses fesses fermes et serrées. Je me met alors à forcer pour entrer. Bien entendu, son anus me résiste. Si elle n'a plus la boule de son bâillon, Anne ne peut quand même pas parler ...