1. Dérapages. 06


    Datte: 10/09/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... à cause de l'anneau dans sa bouche, par contre la jeune rousse peut crier. Et cette conne ne se gêne pas pour le faire. Moi je continue à forcer, faisant tourner mon gland pour perforer cette orifice qui me résiste. Son anus palpite pour ne pas me laisser entrer, pour éviter cette nouvelle pénétration non désiré. Petit à petit son trou du cul se dilate tandis que Anne grommelle entre deux cris, sûrement des tentatives pour me supplier. Puis au bout de dix minutes d'une lutte acharnée, mon gland pénètre enfin cette grotte tant désirée. Anne hurle comme une folle, tandis que mes trois putes ont du mal à la tenir. Mains crochées à ses hanches, je me propulse violemment en avant, la pénétrant d'un seul coup de toute ma longueur. Mon ventre frappe contre les fesses de la femelle dans un grand bruit de claque mouillée, tandis que mes couilles frappent son vagin qui dégorge encore de tout le sperme reçu. Le hurlement de Anne est long, guttural, venant du plus profond de son corps. La belle enculée cabre tellement fort, qu'elle échappe à mes trois putes, avant de retomber sur la table. Mes chiennes la maintienne de nouveau. Je sens son trou du cul palpité contre mon pieu plongé en elle. Je me mets alors à la marteler de puissants coups de reins, la faisant hurler encore et encore.
    
    J'ai savouré son étroit fourreau longtemps, jouissant rapidement en elle, mais restant dans ses entrailles pour la violer de nouveau. Cette fois son enculage dure longtemps, très longtemps. Des trois ...
    ... autres putains, c'est Anne qui à le meilleur cul. La conne le contracte à fond, rendant sa sodomie encore plus dévastatrice, plus douloureuse pour elle. Mais tellement plus agréable pour moi. Je la défonce comme un malade, à grands coups de reins, cherchant à faire le plus de mal possible. Je veux la détruire de mon chibre, ce que j'arrive très bien à faire, si ce n'est physiquement, au moins mentalement. A chaque coups de reins, je me retire pratiquement entièrement, avant de rentrer de nouveau de toute ma longueur. Cette fois-ci je dure presque une demi-heure dans le corps martyrisé de ma proie. La douleur est telle, qu'à aucun moment ses hurlements ne diminue d'intensité, de rythme ou de force. Ils augmentent même quand je me vide en elle, mon sperme brûlant ses chairs tuméfiées comme un puissant acide. Quand je me retire, son anus palpite, il est grand ouvert, du sang et du sperme en coule. Il n'a pas le temps de se refermer que déjà Paul est dedans, la sodomisant à son tour. Moi, je contourne le vide-couilles et enfonce dans sa bouche une bite couverte de sang, de sperme et de merde. Anne vomit, mais mon chibre rendant bouche totalement hermétique, elle n'a d'autres choix que de tout ravaler. Je lui viole une nouvelle fois la gorge, mais cette fois c'est sur son visage que je jouis. La deuxième faciale qu'elle reçoit après celle de Paul.
    
    La suite de la nuit fut une soirée de première fois d'enfer pour la pauvre Anne. Avec Paul on s'est gavé de pilules. Première double ...
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