-
Ma sœur, mon amour (4)
Datte: 22/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Alex et Laetitia, Source: Xstory
Durant les jours qui suivirent, ma sœur et moi continuâmes à faire l’amour tous les soirs, parfois même durant la journée puisqu’il nous est arrivé de le faire sous la douche. Et malgré le fait de savoir qu’elle ne prenait pas la pilule, je ne me retirais pas avant que mon sperme ne soit expulsé au fond de son vagin. Et ma sœur ne me le reprocha jamais. Nous n’avions même pas parlé une seule fois de contraception durant notre séjour. Pourtant, nous aurions facilement pu acheter des préservatifs, mais il n’en fut rien. Laetitia est la seule femme avec qui je ne me sois pas protégé depuis le premier rapport. Au cours du séjour je ne le savais pas encore, mais je suis aussi le seul homme avec qui elle ne se soit pas protégée lors de la première fois. Je n’étais plus vraiment surpris d’entendre des bruits d’ébats provenir de la chambre voisine et eux ne furent pas surpris de nous entendre également. Parfois, il arrivait même de plaisanter sur la nuit que chaque couple avait passé lorsque nous constations une grosse fatigue chez l’un de nous. Le dimanche étant le seul jour où nos amis ne travaillaient pas (sauf problème les obligeant à se rendre sur place), nous décidâmes de profiter de la journée tous ensemble. Contrairement au premier jour où nos amis ne firent que se tenir la main, ce jour-là, Anaïs se colla contre son frère et celui-ci passa son bras autour de la taille de sa chérie. Si le premier jour je n’avais pas compris les signes (certes plus retenus), il aurait ...
... fallu être complètement idiot pour voir autre chose qu’un couple ce jour-là. Quant à nous, ma sœur avait passé son bras autour de ma taille tout en glissant sa main sous mon t-shirt. Et ma main trônait fièrement sur ses fesses couvertes par sa jupe. Nous allâmes dans plusieurs endroits et nous laissions nos amis communiquer à notre place. Si personnellement j’aurais pu dire bonjour en espagnol, j’étais (et je le suis encore aujourd’hui) totalement incapable de tenir une vraie conversation dans cette langue. Eux en revanche n’avaient aucun mal. Nos amis nous firent visiter certains lieux par lesquels nous étions déjà passés durant les autres jours de nos petites excursions, mais là où nous n’avions qu’un regard de touristes émerveillés par tout sans vraiment prendre le temps de bien regarder les choses, ils nous montrèrent des détails qui nous échappèrent lors de nos promenades. Le midi, ils nous amenèrent dans un restaurant assez chic, un peu éloigné de Tarragone. Ils voulurent nous inviter, mais je persistais pour payer la note afin de les remercier pour leur hospitalité, mais aussi parce que sans eux, je n’aurais jamais vu ma sœur différemment (ou peut-être beaucoup plus tard). Finalement, ils acceptèrent de me laisser payer pour les quatre (et demi). Dans l’après-midi, nous allâmes à la plage pour nous reposer. Ni moi, ni ma sœur, n’aurions voulu visiter les lieux comme on enchaîne les manèges à sensations des grands parcs d’attraction. Au moins, nous pouvions ...