1. Aurore ou la voie de la soumission (2)


    Datte: 21/06/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Axelya, Source: Xstory

    ... rappellent vaguement des sexes masculins. La base est constituée d’un disque relié par une tige à une grosse olive pointue. Comme je le craignais, Maître Stéphane choisit l’engin le plus gros. Il l’enduit d’une sorte de graisse épaisse qu’il a recueillie dans un petit pot en terre. Maître Luc se saisit du gode. Je suis paralysée, littéralement pétrifiée par la peur. J’ai à peine le temps de sentir l’olive de métal presser contre mon anus. Maître Luc l’enfonce sans ménagement. La douleur est foudroyante, bien pire que les pinces sur les seins. J’ai l’impression qu’il m’ouvre les fesses en deux. Je voudrais bouger, fuir, mais les entraves me bloquent totalement. Je pousse un gémissement, un de plus. A la douleur s’ajoute une sensation de brûlure. Le gode est glacé, il doit sortir d’un réfrigérateur.
    
    Maître Luc tire un peu sur la tige, mais le gode reste en place, retenu par les sphincters.
    
    — Ma soumise s’est très mal comportée, tout à l’heure, quand Maître Stéphane lui a fait l’honneur de caresser sa poitrine. Elle doit être punie et c’est notre très chère Maîtresse Cécile qui va s’en charger.
    
    Maîtresse Cécile s’approche, un martinet à la main. Elle est plus petite que moi, mais sans doute bien plus forte. Proche de la quarantaine, son physique trahit une pratique sportive régulière. Rien de rassurant. Sur le moment, je pense qu’elle ne va pas vraiment me faire mal, car elle se contente de caresser mon dos et ma poitrine avec les lanières du martinet, mais elle ...
    ... l’agite de plus en plus vite en faisant de petits moulinets. Ma peau rougit et chauffe bientôt. Elle donne le premier véritable coup sur mes fesses. Je sursaute, elle ricane, la méchante femme. Elle frappe le dos, attaque les parties les moins sensibles, elle ne frappe pas fort, moins fort qu’un homme, j’imagine. Je rencontre la véritable douleur quand elle passe aux cuisses. Elle frappe ensuite le ventre et le pubis. Je serre les dents sur le bâillon, des larmes coulent sur mes joues. Le pire reste à venir. Maîtresse Cécile ôte les pinces. L’afflux de sang dans les tétons déclenche une douleur terrible.
    
    Si je le pouvais, je hurlerais à m’en couper le souffle.
    
    Je me souviendrai toujours du sourire sadique de Maîtresse Cécile quand elle brandit son martinet pour l’abattre sur ma poitrine. Elle donne plusieurs coups, s’attardant sur mes tétons endoloris. Mes larmes coulent de plus en plus, inondant mon visage. Enfin, elle s’arrête. Cette séance de martinet n’aura duré que quelques minutes, des minutes qui, pour moi, ont eu un goût d’éternité.
    
    Mes tortionnaires me laissent un peu de temps pour reprendre mes esprits, me calmer.
    
    Je pensais qu’ils me laisseraient tranquille, mais non, ce n’était qu’une petite pause, un entracte. Cette cave est un théâtre. Les acteurs sont les Maîtres : Luc, Stéphane et Cécile. Les autres sont des spectateurs et je suis la victime.
    
    Comment ai-je pu imaginer m’offrir entièrement sans en subir les conséquences ? Tomber entre les mains d’un ...